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Collectif des 12 Singes (Al LU-SINON)


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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 18:40
  • Si tu ne dresses pas ta jument, t’auras du mal à la monter
  • Il m’a proposé les étoiles, je suis monté en grade au 7è ciel
  • Tu crois que j’ignore les choses que toi tu ignores ?
  • Ce n’est pas une dispute quand l’un des deux ne répond pas
  • S’insinuer dans ses bonnes grâces, dans ses petits papiers
  • Le 9© est signe/augure d’amour comme de haine, c’est selon
  • Il y a plus d’un poisson dans l’océan, laisse-le retourner à l’eau si tu l’aimes
  • J’ai quelque chose à te dire, et je préfère prévenir que tu ne vas pas aimer
  • Besoin de rien, envie de toi, un point c’est tout, un point c’est toi
  • Tu m’as promis le bonheur et je n’ai que la rigueur/vigueur
  • C’est pas une casserole que tu traînes mais une batterie de cuisine
  • Tu me déçois ! D’où tu sais qui je suis au fond ???
  • Dans un couple uni on peut toujours faire d’un mal un bien
  • Je te regarde mais c’est elle que je compare à travers toi
  • Tu ferais mieux de t’occuper de tes affaires, assez dé-/mal rangées
  • Qu’est-ce qu’elle savait/voulait ? Je ne le saurais/serais jamais
  • Le désir chez un homme devient vite un vice entêté
  • C’est pas ce que tu crois ! Pas ce que je crois, juste ce que je vois !!!
  • Je ne me souviens de plus rien ! C’est pas plus mal, c’est un souvenir à oublier
  • Fausse bonne, vraie pervers
  • Ta peine est légitime mais ta vengeance est aveugle
  • Contrainte et forcée
  • Je ne suis pas saoul, juste grognon mon petit bouchon
  • Hors de ma vue/vie et reste-y
  • Leur vitesse contre sa force
  • Les gens d’ici restent chez eux, les gens d’ailleurs n’y viennent pas
  • Appelle les pompiers voire même les flics, n’importe quoi avec un gyrophare
  • Ensemble je sauverais le monde
  • Qu’est-ce qu’on peut y faire ? Oui, qu’est-ce qu’on peut y faire ???
  • Amitié, estime, obéissance
  • Ça te rassure d’être avec un imbécile plus nul que toi ?
  • Je préfère ne pas être trop proche/intime avec les gens, ça créé/bouleverse trop d’émotions
  • On a plus d’amis une fois mort qu’en vie
  • Qui se sent morveux se mouche
  • Les juges comme la justice doivent descendre de leur socle
  • La pub est toujours mensongère, sinon elle ne ferait rêver personne
  • Faire croire qu’on m’a volé plutôt que de donner
  • Fantôme aux mains vides
  • Vivre sa vie à pile ou face, un jour ça passe l’autre ça casse
  • Personne ne pensait à sa récidive, même pas lui
  • L’immortalité serait une malédiction : à vie éternelle tourments sempiternels
  • Rien n’est jamais terminé/définitif
  • J’ai été dans la vie la tragi-comédie que dieu a écrit pour moi
  • Le chef d’orchestre ne sait pas forcément jouer d’un instrument, par contre il mène magistralement les autres à la baguette
  • L’avenir est moins sombre que par le passé
  • Pas de censure mais une sélection
  • Animaux "domestiques" : certains s’amusent/jouent/n’écoutent pas voire même ne pensent qu’à s’enfuir
  • Pour pas céder à la panique faut chanter, accompagné d’une flûte de Pan
  • Je n’en suis pas sûr, mais je ne peux pas l’exclure
  • Une bonne nuit vaut un bon repas
  • Mieux vaut avoir le ventre vide que de nourrir celui d’un autre animal/prédateur
  • Je suis seulement X, mais je le suis pleinement
  • Harem signifie autant maison du bonheur que interdit [harām, illégal ; illicite ; interdit ; inviolable ; sacré) a deux sens en arabe et dans le monde musulman. D'un côté il signifie l'interdiction (harām), de l'autre il signifie sacré. En arabe, le terme harām est l'opposé de halāl. Le mot harem  vient de la même racine arabe : l'épouse est sacrée et interdite à tout autre que son époux, le harem est un lieu interdit où séjournent les épouses].
  • Les diapsides sont les animaux dont le crâne possède deux fosses temporales, c'est-à-dire deux ouvertures. Les os squamosal et postorbitaire les séparent. Ces ouvertures permettent aux mâchoires de plus s'ouvrir et d'avoir plus de force lors d'une morsure. Le groupe regroupe tous les reptiles actuels, à l'exception éventuelle des tortues, ainsi que les oiseaux. Les synapsides (du grec sun "avec" et apsis "liaison") sont l'un des deux grands types d'amniotes, avec les sauropsides. Ils sont apparus au Carbonifère supérieur, il y a environ 320 millions d'années. Le crâne des synapsides possède une seule fosse temporale, bordée par le jugal, le postorbitaire, le squamosal, ainsi que le quadratojugal pour les plus anciens. Les seuls synapsides actuels sont les mammifères, mais ils sont aussi représentés par de nombreux groupes fossiles.
  • Anticiper chaque mouvement/réaction et manière de le/la réaliser
  • La frontière est mince entre la confiance en soi et la mégalomanie
  • la vocation naît de la douleur
  • je suis marié à ma solitude et elle me ferait passer de sales quarts d’heure si je lui faisais des infidélités en allant voir ailleurs
  • le seul risque dans la vie est de ne pas en prendre
  • c’est quand on ne comprend pas tout que ça devrait faire rêver
  • l’impact d’un météorite créé un volcan aux antipodes
  • le désir de partir est plus fort que la peur de l’inconnu
  • Cacher cette vérité c’est comme masquer le soleil avec un doigt
  • il est dangereux de donner le pouvoir à celui qui en rêve. Oscar Wild
  • il ne faut en aucun cas donner du pouvoir à celui qui le demande
  • ici, seul l’esprit rend puissant
  • achever ce que X n’avait même pas commencé
  • la complicité cède sous le poids de l’ambition : amis deviennent rivaux
  • prison à ciel ouvert, cage dorée à larges barreaux
  • soit il arrête, soit ils l’arrêtent
  • arrêter de se plaindre, commencer à agir
  • un prolétaire est un bourgeois qui n’a pas réussi (Céline)
  • dans les années 80, les classes moyennes se faisaient passer pour prolétaires et les prolos se la jouaient bobos
  • la pomme de discorde est tombée bien loin de l’arbre de la connaissance du bien et du mal
  • si tu savais ce qui m’est arrivé ! Si tu savais comme je m’en fous
  • collés les uns aux autres puis fourrés l’un dans l’autre
  • tu sais ce que j’aime chez toi ? Non ! Moi non plus !!!
  • un kiss cool qui se la coule lisse
  • c’est rien que la vérité, même si c’est une toute petite partie de la vérité
  • pourquoi contredire une femme quand il suffit d’attendre qu’elle change d’avis
  • vivre en couple rallonge l’espérance de vie ! Pfff, déjà qu’on s’emmerde !!!
  • il y a des choses que je n’aurais pas dû faire/dire et d’autres que j’aurais dû dire/faire, mais globalement je ne regrette pas ma vie, même pas la sentimentale
  • j’oublie pas de rendre ce que la vie m’a donné
  • le core (noyau) ne suit plus
  • le soleil ne s’est pas encore levé, ce n’est donc pas encore l’heure d’aller se coucher
  • le but est de savoir sortir du cadre et de savoir y retourner
  • il est tout et son contraire, mais ses différences se complètent plutôt que s’annulent
  • vas-y lion sot, jette-toi dans l’arène
  • on ne choisit pas ses parents, mais eux non plus ne choisissent pas leur enfant
  • Y a pas beaucoup de place, mais ça passe … ou casse
  • L’humain doit dominer la/le bête en lui
  • faire son métier sans mendier, sans faire pitié
  • là où y a de la valeur y a du voleur
  • Quand l’argent est partout l’âme n’est nulle part
  • Notre Dame c’est la beauté et la majesté dans la sobriété
  • X est comme une femme à robe fendre
  • Prendre femmes pour ce qu’elles font, les laisser pour ce qu’elles sont
  • S’il y avait une justice tout le monde aurait la bite/les seins de la même taille
  • On y travaille, on y bataille, on y arrive … et aïe
  • j’ai pensé à elle comme ça, par hasard
  • Long entraînement, grande attention, beaucoup de travail quoi
  • Le soleil se lève, avec ou sans toi
  • ce n’est pas X qui fait changer l’Histoire, mais sans X l’Histoire peut être très différente
  • La Gauche c’est se poser des questions, la droite c’est cacher les réponses
  • La génération 68 est moins idiote que celle de ses parents et encore moins que celle de ses enfants
  • Faut savoir durer, pas s’éterniser (Wolinski)
  • On s’est battu en 68 contre ce qu’on est devenu aujourd’hui (Wolinski)
  • Assez côté mais pas assez connu
  • Le bonheur se trouve rarement sous les lambris dorés
  • Monsieur qualité/goût, ou l’emmerdeur, c’est selon son humeur
  • Humains en contact : tantôt commercent, souvent s’entretuent, mais à force s’accouplent toujours
  • Impossible d’être une étoile face à ce soleil
  • Pas d’accord avec toi, enfin je ne sais pas : oui peut-être, non sûrement
  • Roi des cons au pays des emmerdeurs
  • Sans la beauté des femmes, la Terre ne serait que tristesse
  • La beauté, c'est l'harmonie du hasard et du bien
  • C’est facile d’être nostalgique d’une période qu’on n’a pas connue
  • L’œuvre d’un artiste dépasse l’artiste
  • Libre même dans mes errances, voire mes erreurs
  • Quand on dit se comporter comme un homme c’est qu’on s’est comporté comme une bête
  • Cuider : Croire, penser ; se cudier « avoir de la vanité » (outrecuidance : confiance en soi-même excessive ou arrogante; attitude qui en résulte vis-à-vis d'autrui. Synon. arrogance, fatuité, impertinence)
  • Ailleurs, ou autre part
  • Ce petit rien qui donne droit de rêver à tout
  • Bon pied marin bon œil malin
  • Pfff, cul de vierge
  • Je crois le savoir mais j’espère me tromper
  • Comme le grand Amour : une émotion si forte que je me sens mal
  • Je te fais du mal en couchant avec toi, mais ça me fait du bien
  • La gloire/joie n’est jamais où la vertu n’est pas
  • J’aurais fait le même choix, ou j’aurais tout fait pour ne pas avoir à faire de choix
  • Tu te prends pour dieu le père ? Non, pour le crucifix qui supporte le fils
  • Le parasite prend le contrôle de l’escargot, les antennes grossies ressemblent à des asticots en haut de la branche, l’oiseau les mangent puis le parasite se multiplie dans l’oiseau, son guano étant ensuite mangé par un autre escargot, etc. à l’infini (cf. bas de http://www.gurumed.org/2010/11/17/un-parasite-qui-contrle-lesprit-des-poissons-aprs-avoir-castrer-des-escargots)
  • La seule chose en laquelle on puisse avoir confiance est le changement
  • Le continuum spatio-temporel est toujours chamboulé
  • C’est quand on regarde dans le rétro qu’on se prend un mur
  • La main sur le cœur, avec le portefeuille entre les deux
  • Seul le prix est vrai, le reste de la description/du produit est bidon
  • Bonnes questions, mauvaise conclusion
  • Quoi ?!, … peut-être oui, … en effet, maintenant que t’en parles
  • Ne jamais négocier sans crainte, ne jamais craindre sans avoir négocié
  • Le rictus trahit ce que le maître/la modestie ne peut dire à l’élève
  • J’ai dû en bouffer de la merde pour revenir en odeur de sainteté {il a été dit, autrefois, que le corps d'un saint émettait après sa mort une odeur particulière, suave qui permettait de le distinguer aisément des autres personnes décédées. C'est de là qu'au XVIIe siècle est apparue notre expression avec son premier sens indiqué, pour désigner une personne ayant eu de son vivant un comportement si admirable que sa canonisation était envisageable. Mais avant cela, au XVIe siècle, il existait déjà "être en bonne / mauvaise odeur" pour désigner quelqu'un qui faisait bonne ou mauvaise impression, tant il vrai que les odeurs qui émanent d'une personne qu'on rencontre peuvent parfois inciter à la cataloguer très rapidement. Furetière indique d'ailleurs "odeur se dit figurément aux choses morales et signifie bonne ou mauvaise réputation".  Ce sens n'a pas disparu et il est resté aujourd'hui dans notre expression, la bonne odeur devenant l'odeur de sainteté et désignant, parce qu'il a fait bonne impression, quelqu'un qui est apprécié, bien vu ; La locution odeur de sainteté est attestée après 1650. Elle évoque l'odeur agréable de fleur que serait censé produire le cadavre (relique) de certains saints ou bienheureux immédiatement après leur mort. La personne est alors dite myroblite. Par métonymie, la locution est devenue quasi-synonyme d'être dans les bonnes grâces d'une personne ou d'une institution, y compris profane}
  • Pas nationaliser, rationnaliser
  • L’idée sera toujours et à jamais plus belle que sa réalité
  • Sans même apparaître, elle évoque et inspire
  • Je ne me sens pas concerné par ce que je fais
  • Si la biologie évolue, les comportements non
  • Avant, on ne cherchait pas à gagner du temps, on le prenait
  • Éblouissant comme l’éclair, puissant comme le tonnerre
  • La Mort transforme la vie en destin
  • Les yeux de la chance : un marron, un vert
  • Choisir entre le Bien et la facilité
  • 15mn de retard, selon mes critères c’est presque de l’avance
  • On lui voyait le châssis à travers le capot
  • Magnifique joyau de ce splendide collier de perles
  • Ça valait mieux pour tout le monde ! Mouais, ou juste pour toi !!!
  • Duel à trois, plus chaud qu’une banquette en cuir en plein soleil de canicule
  • J’en aurais pleuré, mais je n’avais ni la force ni même l’envie
  • Je bande dans le vide, sans atteindre aucune cible avec ma flèche
  • Je ne veux pas qu’on m’aime mais qu’on me désire
  • Y a à prendre et à laisser, comme il y a à boire et à manger
  • Tu n’occupes aucune place, ni dans ma tête, ni dans mon cœur, ni dans ma vie au sens le plus large
  • 1840 à New-York : première apparition du terme millionnaire
  • Pyrite : or des fous : Le terme pyrite est attribué à Dioscoride en l'an 50 qui en fait le premier mention. La pyrite fut remarquée des anciens pour les étincelles qu'elle produit sous les chocs. Le terme provient du grec littéralement « pierre à feu ».
  • Le refus d’échanger engendre l’invasion
  • L’automatisation de l’égraineuse à coton a permis de produire plus de tissu et a renforcé l’esclavage dans le Sud (pour récolter toujours plus de coton), alors qu’il était en déclin
  • Nombre d’espèces disparues >> nombre d’espèces actuelles
  • On ne se dispute pas, on discute
  • Fin radicale d’une vie pas moins radicale
  • Une chose en entraînant une autre, c’est comme ça que tu es né
  • J’ai rendez-vous avec elle, elle n’a pas su (me) résister alors que c’est moi qui aurais dû
  • Je m’accroche à elle et à sa si belle mélodie, comme une (blue) note à sa partition {note jouée ou chantée avec un léger abaissement, d'un demi-ton au maximum, et qui donne sa couleur musicale au blues, note reprise plus tard par le jazz : Le terme blue vient de l'abréviation de l'expression anglaise Blue devils (littéralement « diables bleus », qui signifie « idées noires »). La note bleue est utilisée par les musiciens et les chanteurs de blues et de jazz à des fins expressives, pour illustrer la nostalgie ou la tristesse lors de la narration d'une histoire personnelle (une bluette). L'origine de la note bleue se trouve dans le système musical pentatonique africain. La confrontation des Noirs américains avec le système tonal européen et ses sept degrés a engendré l'adaptation du troisième et du septième degré (absents de leur gamme) en les infléchissant d'un demi-ton soit vers le mode mineur, soit vers le mode majeur. D'où l'ambiguïté du climat harmonique et affectif de cette musique dans laquelle coexistent les tonalités majeure et mineure, joie et tristesse. Le système pentatonique est également répandu en Asie et dans d'autres pays. Ainsi, on peut retrouver la note bleue dans la musique folklorique celtique : la bent note ou note longue joue un rôle essentiel dans la musique irlandaise, utilisée dans le chant ou par des instruments à anche libre tels que l'harmonica ou l'accordéon, pour exprimer de la même manière la plainte, la tristesse ou la nostalgie.
  • Ce qui compte chez l’homme c’est l’homme derrière la taille du pénis
  • Un soupir (de désir/plaisir) qui en dit long sans vraiment le/rien dire
  • Tu supposes ou t’en es sûr ? : ça coûte cher de se tromper !
  • Ce n’est pas parce que j’ai la langue qui fourche que j’ai les dents qui rayent le parquet
  • Je ne suis qu’un wagon qui suit le rail, attaché à la queue leu leu {raccourci de "à la queue (du) leu (le) leu" ou, en moins compact encore, "c'est à la queue d'un leu qu'on trouve un autre leu" ; leu est l'ancien nom du loup, les petites bandes de loups avaient pour habitude, paraît-il, de se déplacer les uns derrière les autres, donc chaque loup derrière la queue du congénère qui le précédait}, sur une voie ouverte par toi, locomotive puissante
  • Cette nuit-là, l’agneau et le lion partageront la même couche; mais l’agneau ne dormira pas beaucoup (Woody Allen)
  • Au royaume des chameaux, les dromadaires sont rois.
  • À force de s’en sortir on se croit intouchable, jusqu’à ce qu’on nous prouve le contraire … et là ça fait mal
  • Désolé pour ce facho incident, il ne sait pas ce qu’il pense
  • Au moment où la chenille croit que sa vie est finie, elle devient papillon.
  • Ce que la chenille appelle la mort, le papillon l’appelle renaissance.
  • Au zoo : c’est peut-être pour amuser les bêtes qu’on nous permet de défiler devant leurs cages. - André Birabeau
  • Au zoo, tous les animaux se tiennent convenablement, à l’exception du singe; on sent que l’homme n’est pas loin . - Emil Michel Cioran
  • Aucun oiseau ne s’élève trop haut s’il vole de ses propres ailes.
  • Ce que je veux est trop cher, ce que je peux est trop nul
  • À force de se faire aboyer dessus comme un chien, de ronger son os, je vais finir par mordre même si le collier à clou rentre dans la chair à force de trop tirer sur la laisse
  • Casting différent pour des acteurs au profil similaire
  • Aussi abondantes sont au marché peau d'agneau que peau de mouton. - Proverbe français
  • C'est facile d'attraper un bébé tigre. Il suffit d'entrer dans l'antre du tigre. - Proverbe chinois
  • Choisis plutôt d'être la queue du lion que la tête du renard. - Proverbe juif
  • Aucun chat ne prend des souris pour l'amour de Dieu. - Proverbe persan
  • On me siffle que dans les écuries, je ne suis pas ta chienne
  • Ce n’est pas parce qu’on a peur des chiens qu’ils sont dangereux.
  • Chien qui relève la queue méprise son ennemi; tigre qui la baisse va le dévorer. - Proverbe chinois
  • Dieu aima les oiseaux et inventa les arbres; l'Homme aima les oiseaux et inventa les cages. - Jacques Deval
  • 10% des gens sont totalement honnêtes, 80% commettraient un délit si l’occasion se présentait, 10% sont des délinquants/criminels
  • Cerveau de la bande, son fidèle acolyte, le balaise
  • À l’époque je savais quoi faire et comment le faire
  • En conclusion, je ne peux rien en conclure
  • Diner en ville avec des gens de la hot
  • Al Capone : c’est plus facile d’obtenir quelque chose avec un mot gentil et un flingue que juste avec de la gentillesse
  • Mexique : plombo o plata (plomb ou argent) : soit je t’achète soit je te tue ; tu parles tu meurs, tu te tais t’es riche
  • Cinquante brebis sans un berger ne font pas un troupeau. - Proverbe russe
  • Espionnage : piège sucré = femme pour corrompre homme
  • La victoire amène une gloire posthume qu’on n’aurait pu avoir de son vivant
  • Yeux verts (connaissance), chapeau rouge (folie), fleur bleue (émotion)
  • Cocktails : sweet, sour, strong : sucré, amer, fort, pour cacher le goût de l’alcool frelaté durant la prohibition
  • Se mettre la rate au court-bouillon : Se faire du souci
  • Ceux qui croient veulent y croire, font semblant d’y croire, ont (des) intérêt(s) (à)/d’y croire
  • Liz Taylor : les plus beaux bijoux pour une femme c’est d’avoir les genoux derrière les oreilles
  • Les gens heureux n’ont pas d’histoire
  • J’ai rien dit ! Tu fais bien !!!
  • Il n’a pas dit que … ! Il a dû oublier !!!
  • Tu joues avec le prince pour ensuite travailler avec le roi
  • Voleurs dans la loi
  • Le FSB est plus pire que le KGB d’avant
  • Ruer dans les brancards : au XVe siècle, avant de prendre le sens qu'on leur connaît aujourd'hui, les brancards étaient deux longs bouts de bois prolongeant vers l'avant la caisse d'une voiture, et entre lesquels était placé l'équidé chargé de déplacer la charge que son maître devait transporter d'un endroit à un autre ou les passagers que le chariot contenait. Lorsque l'animal en avait assez d'être exploité, qu'il ne voulait plus faire le job, qu'il réclamait sa pitance, il décochait des ruades, se cabrait ou ruait entre / dans ses brancards.
  • Puissance et gloire concentrés dans un regard
  • Effondrement de l’un, surgissement de l’autre
  • L’avenir que nous attendons de tout notre cœur ici existe déjà là-bas
  • Je conduis ma vie, vite, à gauche et à droite, mais surtout à fond à fond tout droit devant, jusqu’au mur final et à la panne d’essence
  • Par négligence, le danger peut venir de choses insignifiantes
  • Je suis mort à X ans, depuis je survis dans les limbes purgatoires
  • Le génie c’est quand les autres ne savent jamais si t’es intelligent ou idiot
  • En un éclair (mais pas de lucidité) le courage peut devenir de l’imprudence
  • Je n’en reviens toujours pas d’en être arrivé là
  • Seigneur dieu, as-tu perdu tout sens de la raison ?
  • Tu vis comme dans une fête foraine
  • Le monde est plein de chaos et de frustrations
  • Les parents ne peuvent que guider vers la bonne direction, on ne peut choisir son chemin qu’une fois adulte
  • Il buvait plus qu’il ne dinait
  • Idée généreuse, réalisation tout à organiser
  • Mon plaisir est la règle et la loi sous mon toit
  • Les années passent et le ventre grossit comme le melon enfle
  • Même comme tireur d’élite faut pas avoir mitraillette en tête
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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 20:07
  • Trop tard, je ne maîtrise plus mes pulsions, l’animal crie en moi
  • On coule comme le Titanic, mais au moins eux avaient de la musique pour accompagner le mélodrame (ouvrage dramatique dans lequel sont accumulées les situations violentes et les péripéties imprévues)
  • Regarde dans mes yeux tu me verras, regarde dans mon cœur tu t’y verras
  • Pourquoi pleurer ?, tu ne mérites pas que j’en abime mon maquillage !
  • Tu m'as appris à t'aimer, maintenant apprends-moi à t'oublier
  • j’ai été battu au jeu de l’oie par une canne, une poulette dinde
  • quel bonheur que tu sois là, quel malheur que de te voir
  • les cheveux frisés du Diable
  • une raison intéressante de ne pas être intéressé
  • qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Je ne sais pas, on fait rien, on en a déjà assez fait, arrêtons les dégâts
  • la peur ne peut arrêter ton amour, l’amour peut arrêter ta peur
  • Pourquoi tu dis ça ? T’inquiète pas, je suis au courant ! Pourquoi tu me demandes alors ?? Juste pour l’entendre de ta voix, par toi !!!
  • Comment il est ? Je ne sais pas, j’ai jamais eu à le décrire avant !
  • À propos, tu avais raison, et tu tombais bien à propos ! À propos de quoi ?? À propos de tout !!!
  • Les humains n’acceptent le changement que dans la nécessité et ne voient la nécessité que dans la crise
  • on va suivre au pied de la lettre tous les panneaux "Cédez le massage" et "Sens inique/cynique"
  • arrête, tu vas rayer tes chaînes
  • Il peut encore gagner, même s’il ne part pas favori
  • Thermomètre qui donne la fièvre à force de se le carrer profond dans le fion
  • Qui inquiète et fascine à la fois
  • L’Art de la Rébellion
  • ça lui arrivait d’en parler mais je ne prenais pas au sérieux ce qu’il disait
  • si je n’ai pas été un bon père ça vient surtout que je n’ai pas eu un bon père, parce que j’étais un mauvais garçon
  • le meilleur X de ma vie … pour l’instant
  • je suis contre le suicide, mais si tu voulais essayer ça pourrait peut-être me distraire
  • la seule façon de gagner est de ne pas jouer
  • la vie nous pousse à oublier/renier nos désirs/rêves
  • 50% généreux, 50% égoïste, mais les pourcentages ne concernent pas les mêmes choses
  • je n’en ai plus rien à foutre de moi, faites-en donc ce que vous voulez
  • il y a toujours du soleil derrière les nuages
  • un long cycle interrompu de
  • tu joues avec ma zenit(h)ude, avec mes nerfs vé
  • alliance parfois délicate mais toujours nécessaire car je te suis indispensable
  • Légère par sa robe, goûtue, onctueuse, duveteuse par ses rondeurs
  • Magne-toi de jouir, j’ai mal aux mâchoires
  • Non non non, n’arrête pas, c’est trop bon
  • si l’organe génital est le sexe, l’organe sexuel est le cerveau
  • tu es la plus grande déception de ma vie
  • le nombre de princes charmants est strictement proportionnel à celui des princesses pures et innocentes
  • ensemble nous allons faire de grandes choses, si entre-temps on ne s’est pas entretués
  • envoie-moi un signe, ou une raison, voire un prétexte
  • proposition indécente … à moins que
  • Là où y a du béton nous grafferons
  • Décrocher la timbale : Obtenir une chose disputée, un résultat important ; S'attirer des ennuis à force de maladresse. Il n'y a encore pas si longtemps que ça, il était d'usage, dans certaines familles et lors d'une naissance, d'offrir au nouveau-né, outre sa gourmette en or, une timbale et un coquetier gravés à son nom, le coquetier étant un modèle réduit de la timbale (gobelet de métal sans pied). Venons en maintenant à une autre tradition quasiment disparue dans nos contrées : le mât de cocagne, ce poteau, au sommet duquel on fixait quelque chose comme une roue de charrette à laquelle on suspendait des objets divers et des victuailles, avant de l'enduire de graisse ou de savon, puis de le planter verticalement. Le jeu consistait alors pour les volontaires à grimper au mât, atteindre le sommet et décrocher ce qui était à portée de leurs mains. Bien entendu, le fait que le poteau soit très glissant rendait la tâche très difficile voire impossible. Celui qui arrivait à décrocher quelque chose pouvait se féliciter de la chose, il avait obtenu un sacré résultat. Et parmi les objets qu'on pouvait fréquemment trouver au sommet du mât, il y avait une timbale ou un coquetier.
  • Comme les élections, la vérité/surprise arrive à la fin
  • J’étais dans le coup et ils ont changé ce qui était dans le coup, ça me fait peur
  • je suis flapi de ces conneries : Extrêmement fatigué, abattu. Mot fr.-prov. dér. d'un adj. flap « qui est flétri », altération du lat. médiév. faluppa « balle de blé » (Xe s.)
  • c’est comme Woodstock, mais avec moult pubs, interdictions et sécurité
  • c’est aussi fastoche que de déprimer un jeune ou de voler sa canne à un aveugle, même si ça l’ait moins que de voler sa sucette à un enfant
  • d’abord distraire, quelques fois sensibiliser
  • soit t’y prends part soit t’es qu’un ringard
  • il est tout puissant : tout le monde le salue, lui personne
  • il s’est réveillé très utile mais on n’avait plus besoin de personne
  • je crois en votre arrogance, non en votre puissance
  • tricherie et trahison, traités et traitrises
  • à la 1ère trompette fais mine de perdre, à la 2è part à la conquête
  • si nous en avions quelques-uns comme lui Rome pourrait conquérir le monde une deuxième fois
  • capable de tout voir sans être vu
  • c’est probable, mais pas sûr
  • du plomb dans l’aile, pas plus dans la cervelle
  • pourquoi ? Je ne peux pas le dire ! Où ?? Il vaut mieux que tu ne le saches pas !!!
  • La transition dans la continuité, voire l’inverse
  • La tactique compense l’énergie et le courage
  • tes chansons déprimantes ont cassé les rêves de mes enfants, que je ne pouvais pas leur offrir
  • ce qui est marrant est ce qui est différent, qui sort de l’ordinaire
  • clampin : Celui qui traîne à la queue d'une troupe, d'un groupe en marche
  • est-ce qu’il faut vraiment que tout le monde soit au courant ?
  • tout le monde a des histoires à raconter, c’est juste qu’on a pas le temps de les écouter
  • ravi d’aller en enfer, si je t’y ai envoyé avant
  • si c’était le cas tu serais plus là
  • voir ce que je voulais regarder, pas ce que tu voulais me montrer
  • Dans une histoire d’amour y a pas de prescription, tout est compté à perpétuité
  • Les impatientes fleurissent en juin (Impatiens, genre regroupant 800 à 900 espèces de plantes herbacées appartenant à la famille des balsaminacées)
  • La déception, ce court instant fatal où l’espoir meurt
  • Je tiens pas à me fâcher, on n’était pas obligé d’en arriver là mais je vais le faire
  • Chaque fois que tu pars je me sens abandonné
  • C’est ce que dis ta bouche, mais mes yeux sont assez malins pour ne pas la croire
  • le suicide est un choix délibéré pour se Libérer/délivrer de la vie
  • pas de messe-basse sans curé (depuis le milieu du XVIIe siècle, une messe basse, par opposition à une grand-messe, est une messe non chantée, où le prêtre récite les prières. Selon Alain Rey, cela vient du fait que, lors d'une véritable messe basse, le prêtre marmonne des paroles indistinctes qui ne semblent pas destinées à être entendues par l'assistance, exactement comme le sont les paroles échangées par ceux qui disent des messes basses).
  • Je me sens très bien, c’est mon cœur qui est fâché
  • Même quand tu n’étais pas là je me sentais bien car je savais que tu étais quelque part, pas loin de mon cœur
  • Tant que c’est pas pire ça me va comme ça
  • Des contacts amicaux et courtois, enfin, plus courtois qu’amicaux
  • Le désir c’est savoir faire attendre, faire prendre son bien en patience
  • Réalité crue d’une nuit sordide
  • Ton heure arrive, à toi de décider la fin
  • Ne dis rien, parfois (et avec toi souvent) c’est mieux comme ça
  • Je vais par là, ne te sens surtout pas obligé de me suivre
  • Je lui donne argent et logement, elle remplit la maison de braiements
  • Par la grâce des Furies, je te maudis (divinités romaines persécutrices, correspondant aux Érinyes grecques)
  • Je me serais coupé les mains pour ne pas y toucher
  • Je t’ai promis une perle, en voici déjà l’écrin
  • C’est le plaisir que tu lui donneras qui la rendra belle
  • Un mariage (mal) arrangé peut gâcher une vie, comme si j’avais besoin de ça
  • le mariage d’abord, l’a/A-mour on verra ça ensuite
  • je ne l’aimais mais je la pleure quand même
  • perdre son âme en elle
  • personne ne voit au fond de toi le noir de ton désir
  • j’en ai les poils du nez qui s’hérissent
  • le seul antipoison est l’amour
  • ton doux parfum envoûte mes sens et endort ma raison, il m’embaume
  • une oasis où j’aime à tremper mes babines
  • Carabistouilles, calembredaines, galéjades : blague, farce
  • La chorale est la partie la moins déprimante de la religion, surtout en mode gospel (de l’anglo-saxon godspel (« nouvelle de Dieu ») contraction de good et de spell, calque du latin evangelium emprunté au grec ancien εὐαγγέλιον, euaggélion (« bonne nouvelle »).
  • Ma mère est morte, mon père reste là, que peut-il m’arriver de pire ?
  • Le XXIè siècle est arrivé plus vite que prévu
  • Il est ailleurs en étant las
  • Ne pas regarder l’avenir dans le rétro
  • Je suis mon frère jumeau disparu depuis longtemps
  • Il agit plus qu’il ne réfléchit
  • Mieux vaut n’y rien entendre du tout qu’être moyen, les cimetières en sont pleins (soldat)
  • Mettre deux loups dans la même cage est néfaste pour les deux
  • J’adore quand mon plan perfide se finit bien, sans accroc
  • Même pour sauver ma propre vie je n’y mettrais pas ce prix-là
  • il y a des jours où il fait trop nuit
  • ris de tes malheurs et la vie te souris
  • c’est pas un miracle ni même de la sorcellerie, c’est de la magie
  • Caustique (qui est cinglant, blessant dans la plaisanterie ou la satire) et costaud, il a tout pour la Cause
  • Les esclaves rêvent de courage comme les poissons de voler
  • En échange de ma générosité, je compte sur ta loyauté
  • les abeilles ne sont pas attirées par le miel, elles le font
  • j’adore le fond, j’adhère moins sur le forme
  • Qui es-tu et que veux-tu/faisais-tu ?
  • Conseille-moi au lieu de me voir déjà foutu
  • pourquoi tu pars, t’es pas heureux ici ? Si, trop !
  • lui rendre sans lui donner
  • un travail si bien payé est forcément malhonnête
  • l’empalement est le fondement [1119 fundement « anus » ; 1174-76 p. ext. « base, ce sur quoi repose quelque chose ») de la torture {exécution barbare, dont les premières représentations viennent d'Assyrie, où elle constituait un supplice fréquent des homosexuels : la victime était empalée juste en dessous du sternum sur un pieu (désigné alors par le terme "pal") planté à la verticale, puis laissée telle quelle jusqu'à ce que mort s'ensuive, la personne se faisant lentement transpercer sous l'effet de la gravité. Toutefois, la méthode la plus répandue et dont il existe des traces en Russie et en Turquie voulait qu'on enfonce le pal dans l'anus du condamné, avant de le planter en terre. La cruauté du supplice était modulée par le degré d'acuité de la pointe, la taille du pieu, et la profondeur à laquelle on l'enfonçait. Le plus fréquemment, la pointe était arrondie afin de repousser les chairs sans les léser, afin que le supplice dure le plus longtemps possible. Elle ressortait par le thorax, par les épaules ou par la bouche, en fonction de la direction donnée. Le but était d'apporter une frayeur maximale aux spectateurs)
  • je préfère mon bonheur à ma richesse
  • il y a des gens pour qui l’argent est comme un film russe sans sous-titre
  • la différence entre un truand et un escroc est que ce dernier n’a jamais pris d’argent qu’aux cupides et faibles alors que le premier ils le lui donnent directement
  • la route sera longue et difficile mais je n’ai pas peur avec toi
  • le plus mieux est qu’au moins un de nous deux soit heureux
  • elle est si sombre qu’on remarque à peine les tâches
  • si ça peut te consoler, je suis assez désolé
  • Arlésienne : tout le monde en parle, personne ne l’a jamais vu
  • Le grand Amour existe-t-il ? Oui, je ne l’ai pas encore rencontré, mais je suis sûr qu’il est là, quelque part, bien caché, à l’abri
  • Ma chair est faible … et la sienne chère
  • Au premier rendez-vous on ne sait rien et on espère tout
  • Une phrase, deux conneries : t’es bien partis
  • Si elle ne veut pas de moi, qu’elle ne passe pas à la casserole, je paye peut-être l’addition mais aucun des deux n’aura de dessert
  • J’ai comme un doute, si près/prêt du/au bonheur
  • Elle te fait des yeux de veau au dîner pour finalement se révéler être une peau de vache après avoir couché sur une peau de bête devant la cheminée
  • J’ai pas senti beaucoup d’enthousiasme
  • On crève l’abcès, on fait un break, on passe à autre chose
  • C’est que du bonheur, ou presque … si je veux
  • Pleure pas, j’ai encore rien dit
  • Je ne suis jamais ami avec une fille, sauf si elle est moche
  • monter en Seine
  • si j’ai pas l’air d’un méchant c’est juste que je fais bien semblant
  • t’es pas un méchant, juste un type pas très bien
  • quand on veut nager faut savoir se mouiller
  • Les allergies sont là comme les hirondelles, même si une seule ne fait pas le printemps
  • C’est sain d’écouter sa peur, sinon on ne survivrait pas
  • Moins tangible mais pas moins marqué
  • Que ce soit vrai ou pas, ça aurait pu et dû être vrai
  • Une vie qui se vide
  • T’as pas tout de l’original, mais l’essentiel et même des trucs en plus
  • c’est pas l’ennemi, c’est l’incongru, l’inconnu pas invité
  • je ne trouverai jamais mieux/meilleur que toi maintenant que je n’en ai plus besoin
  • Viens à nous, toi que nous attendons
  • X les a peut-être oubliés, mais eux n’ont pas oublié X
  • C’est un espace public ! Ça dépend du public !!!
  • L’alcool et les drogues au sens large sont les seuls compagnons acceptés dans la solitude
  • Ma mère ce héros
  • Je laisse le sort en décider car je n’en suis pas capable
  • J’ai tout essayé, sauf erreur ou omission
  • Je suis d’une nature excessive : quand je fais je fais trop (sinon je fais rien, du tout)
  • Moi je baise avec tout seul, ou des fois la veuve Cinq me tend la main
  • Ou tu l’as ou tu l’as pas, c’est pas un choix
  • Une maison qui se lézarde ne peut tenir debout, elle s’effondre si il n’y a pas consolidation des fondations et ravalement de façade
  • Franche camaraderie où on s’enfile avant de se dire bonjour
  • Ce n’est pas parce qu’elle ne sait rien de moi que je ne veux rien savoir sur elle, au contraire même
  • Les femmes d’abord, et leur orgasme avant tout
  • Je ne veux pas oublier ! Moi je voudrais bien mais je ne peux pas !!!
  • Un auriculaire/petit doigt en l’air, l’autre sur la couture de la braguette {normalement « sur la couture du pantalon » : en manifestant du respect ou de la soumission. Au garde-à-vous le soldat se tient droit, chaque bras le long du corps, et un doigt sur la couture latérale et néanmoins verticale du pantalon de l'uniforme. Cette position raide est celle dans laquelle il manifeste du respect au supérieur qui est devant lui}
  • On m’a donné la voix, je veux non seulement parler mais aussi crier/hurler
  • Ne pas bannir/haïr la haine, l’utiliser pour la bonne cause
  • Victoire en demi-teinte pour X, échec relatif pour Y
  • Une victoire à la Pyrrhus est une victoire avec un coût dévastateur pour le vainqueur. L'expression est une allusion au roi Pyrrhus Ier d'Épire, dont l'armée souffrit de pertes irremplaçables quand il défit les Romains pendant sa guerre en Italie à la bataille d'Héraclée en 280 av. J.-C. et à celle d'Ausculum en 279 av. J.-C. À chaque victoire de Pyrrhus, les Romains perdaient plus d'hommes que lui mais ils pouvaient facilement recruter de nouveaux soldats ; leurs pertes affectaient donc beaucoup moins leur effort de guerre que celui de Pyrrhus.
  • Je n’aime pas vraiment, mais je laisse faire
  • Quoi, qu’est-ce qu’il y a ?, y a un truc qui va pas ???
  • Les humains aiment abhorrer ce qu’ils adoraient {Avoir pour une personne ou une chose une antipathie telle qu'on ne saurait la voir ou y penser sans éprouver un frémissement et un mouvement tendant à s'en éloigner ou à l'éloigner}
  • Comme pieuvre de ma peur, je me suis encré dessus
  • Ce n’est pas que la situation soit sans issue, c’est que je ne sais pas quoi faire ni comment m’y prendre
  • On est toujours un peu idiot quand on remercie, mais là (autant être) on est naturels
  • J’oscille entre désespoir, regret et fureur
  • Quand j’ai accordé la main de fille je l’ai enterrée vivante
  • On a une fenêtre de tir de lancement de fusée/missile à tête de nœud chercheuse, aucun nu âgé
  • Tu ne peux pas comprendre, ça fait tellement longtemps ! Que tu me désires en secret ? Non, que je n’ai pas baisé !!!
  • T’as tout oublié ? Non, rien oublié, c’est encore pire !
  • Une blonde hitchcockienne
  • L’Amour sert surtout à éloigner la Mort
  • La valeur sentimentale n’a pas de prix, par contre le prix des sentiments a une valeur
  • Il ne s’est pas enfui … comme si j’étais un immeuble en feu !
  • Il faut atte(i)ndre la Mort pour se sentir vivant
  • Je ne veux pas être piqué comme un vieux chien chez le véto
  • On enterre les regrets et les secrets avec le corps
  • Sortez les violons, faîtes pleurer vos doigts sur le bois
  • Il a été touché par les anges : expression russe pour dire qu’il est illuminé/aliéné
  • Trotski Vs Big Brother/Little Father of the Peoples
  • Ce n’est pas ce que je dis ! Peut-être est-ce ce que tu laisses sous-entendre !!!
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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 14:28
  • Le talent c’est d’avoir envie
  • Enlevez le superflu, ne gardez que l’essentiel
  • La musique est la langue des émotions. [Emmanuel Kant]
  • la répétition est une forme de paresse d’un esprit sclérosé
  • pour la modestie, je ne crains personne (d’Ormesson)
  • "Pour aller de l'avant il faut prendre du recul car prendre du recul c'est prendre de l'élan."
  • L’aurore s’est retirée pour laisser place au grand jour
  • trop d'inconséquences dans ma folle jeunesse m'ont rendue vachement plus raisonnable
  • on apprend sur soi uniquement en vivant...même s'il faut se tromper... parfois
  • pis si c'était à refaire je ferai la même chose... en pire !
  • avec le recul je changerais quelques petits trucs, mais bon c'est passé donc on peut rien y changer, autant l'accepter car c'est ça qui nous a formé
  • le courage c'est juste de s'y mettre, après "ça va tout seul"
  • fraîche comme la bouteille de rosé de la veille (Florence Foresti)
  • pas un marrant mais un marré, pas rigolo mais bon public
  • couper le cordon pour revenir au monde
  • Nul ne suis ce que je n’ai jamais été et ne le saurais jamais être. Mon beau printemps et mon été ont fait le saut par la fenêtre (Dernière tentation de Krusty)
  • Donne une chance au hasard
  • Je n’aime pas compter sur la chance, cette fourbe inconstante
  • Chaque pas de plus avec elle restera à jamais gravé dans le sable
  • hier on c'est rencontré, demain on se retrouvera
  • Je l’ai aimée mais encore plus détestée
  • Tant que l’oignon n’a pas été consommé
  • dénoyauté les olives et retrousser la peau du saucisson
  • dans un couple, si tu n’avances pas tu recules
  • Si tu n’as pas confiance en toi, moi si
  • Aveuglé par ton bonheur tu ne voyais pas mon malheur, que tu provoquais !
  • Arrête tout de suite, sinon tu vas dire un truc sérieux et je ne veux que du léger
  • Homméopathie : traitement par les hommes, à petite dose
  • Je te propose de ne pas dormir avec moi … toute la nuit ;-)
  • Je te remercie quand même de m’avoir fait rêver
  • J’ai peur de la réponse que je dois donner
  • D’abord on se dispute à coup de vaisselle, ensuite on discute sur l’oreiller après s’y être réconcilié
  • J’ai acheté cette guenon avec ma grosse banane
  • Tu ne dis rien mais j’entends tout
  • Là où une huître n’a qu’une perle, elle en a bizef
  • Non mais ça va ? Non, ça ne va toujours pas !
  • Non je ne souris pas, ça se voit non que c’est plutôt de la gêne
  • Humour pour combler l’angoisse du vide/bide
  • As-tu connu le bonheur, ta vie a-t-elle donné du bonheur aux autres ?
  • Je suis assez fort pour oublier de les détester, pas assez pour leur dire « je t’aime »
  • Je te croyais petit connard mais t’es un grand malade en fait
  • Ça laisse songeur mais ça ne fait pas rêver
  • Je suis là pour jauger, non pour juger
  • On n’est pas le produit d’un sol mais de ce qu’on y fait
  • La culture est plus forte que l’idéologie
  • Ce qui vaut la peine n’est jamais facile
  • Ordre et beauté, luxe calme et volupté
  • J’ai le cafard et un ton blafard, ça farte pas, je suis sans phare
  • Celui qui ne renaît pas chaque jour meurt chaque nuit
  • Le pire n’est pas l’échec, c’est de ne pas essayer
  • Faire d’une bière deux coups
  • Brûler la chandelle par les deux bouts
  • Les humains avisés ont l’esprit de contradiction
  • L’anonymat est mon nom, le silence ma langue maternelle
  • Le vrai le faux, le laid le beau
  • T’es têtu comme une mule et deux fois plus laid
  • La gouape [de l’espagnol guapo (« coupe-jarret, rufian »)] : Personne peu recommandable, voyou ; Pègre, gens de mauvaise vie.
  • La bonne info au bon moment pour que la bonne personne prenne la bonne décision
  • Comprendre la Nature, protéger l’environnement
  • L’Amour est aussi instantané qu’éphémère et inconditionnel
  • Va falloir que je m’occupe de mon couple, et vice-versa
  • Penser comme moi signifie penser comme toi
  • Mon wonderland c’est womenland
  • Cet homme-là, mes gosses l’aiment beaucoup, ma femme encore plus
  • Comme on ne refuse pas un cadeau, un homme ne se refuse pas à une femme qui s’offre
  • F admire DE mais ne l’aime pas, DE aime F mais ne l’admire pas
  • Faut savoir frustrer son public pour le dominer
  • Tout ce qui dépasse du cadre te dépasse
  • L’heure est venue de brader ma vertu sur le point d’être périmée
  • La vie est un jeu de dupe où il vaut mieux être du côté des tricheurs
  • Pour échapper à la loi il faut être honnête (Dylan)
  • De la flûte de la dérision au violoncelle de la gravité
  • Les gens ont besoin de croire en quelque chose et moi je le leur donne
  • Ne plus changer le monde mais le quotidien
  • quand l’espoir meurt naît la déception
  • Une montre arrêtée donne deux fois par jour l’heure juste
  • Tu te rappelles de ce que je t’ai appris, n’essaye pas de l’utiliser
  • Le succès se paye par la solitude
  • Le nucléaire est ce qu’il y a de plus puissant, onéreux et dangereux pour juste faire bouillir de l’eau
  • La vie n’est pas bueno mais plutôt bonto : une vaste escroquerie
  • Pour aller loin il ne faut pas se précipiter et faire un faux-pas
  • Course à l’échalote : Action qui consiste à forcer quelqu'un à courir ou partir en le tenant par le col et par le fond du pantalon. Se dit maintenant d'une compétition (électorale, hiérarchique...), parfois puérile, où tous les moyens sont bons pour arriver le premier. Dans le sens initial, le fait d'attraper quelqu'un par le fond du pantalon, c'est aussi le tenir par la « peau des fesses ». Or, en argot, l'oignon désigne la fesse
  • C’est une chose d’être un maillon de la chaîne, c’en est une autre de recommencer une nouvelle chaîne
  • le regard des autres n’a plus d’importance, seul compte mon propre point de vue
  • Tu l’aimes … Non ! Tu l’aimes !!! … oui
  • Je divague encore entre souhait et score
  • c’est ce que dit ta bouche mais mes oreilles ne la croient pas
  • tout va bien, tant que rien ne vient bouleverser cet équilibre instable
  • âme seule en quête d’âme sœur
  • le mot que tu cherches c’est Merci !
  • En faire moins mais le faire mieux
  • La drogue est un exhausteur de goût, de sensation
  • Si tu ignores l’enfant en toi tu ne deviendras jamais l’adulte que tu aurais dû être
  • la mode est une forme de laideur si intolérable qu’il faille en changer tous les six mois (Oscar Wilde)
  • rare mix de mecs prêts à tout mais bons à rien
  • la vie change souvent la musique mais on doit continuer de danser
  • la culture se crée là où se cristallisent les différences entre générations
  • trouver l’équilibre entre être et "penser l’être" (pensait l’être)
  • introspection et extrospection
  • j’ai plus peur du vide que du trop-plein
  • pire qu’un bon à rien, un moins que rien
  • tu ne ressembles pas à Robert Redford, mais t’es au moins aussi gentil que lui
  • ne jamais commencer une phrase sans savoir comment la finir
  • je répugne à mentir, mais quand c’est nécessaire je sais feindre
  • si on fait ces choses-là, on ne les dit pas
  • 60 000 suicides de retour du Vietnam, plus que morts/drogués sur le champ/la jungle de bataille
  • Quel est l’objectif, le but inavoué, de ta gentillesse ?
  • Ce n’est pas toute notre relation qui est basée sur un mensonge, juste ce que j’ai dit qui est invalide/caduque
  • ET, touche-moi de ton doigt
  • Puceron égaré sur épines d’une vieille rose fanée
  • L’Apenzell est le dernier canton suisse à avoir autorisé le vote des femmes, en 1991
  • quand on ne sait plus choisir, on n’est plus humain
  • Envoie-moi dans les vapes rejoindre Alice, au pays des merveilles
  • Au fond t’es quelqu’un de bien mais tu ne le sais pas
  • Le rhum ne s’est pas distillé et bonifié en un jour
  • Je ne suis pas croyant, sauf en l’existence du Père Noël, mais là j’ai plus le choix : SuperMan, au secours !
  • Il y a la bonne manière, la mauvais manière et la mienne
  • Il y a les choix choisis et les choix subis
  • Le pétard colle à ma peau et décolle mon cerveau
  • Pourquoi se contenter d’un seul endroit quand le monde vous appartient
  • T’es la 5è roue d’une bicyclette branlante à petites roues sur le côté
  • Mis à l’écart pour ce que je suis, pas pour ce que je prétends être
  • Le destin est le nom qu’on utilise quand on ne connaît pas le nom de la personne à l’origine de nos malheurs
  • T’en fais des tonnes et après tu t’étonnes que ça détonne
  • En clair, j’ai pas vraiment tout compris ni tout bien
  • Malgré la controverse, ou plutôt grâce à elle
  • Triomphe Collectif, échec/drame personnel
  • Pile, enfin face … euh, sur la tranche
  • Parfois de droite, toujours de gauche : de raison à droite, de cœur à gauche
  • Apathie dans l’appétit du gain
  • Esclave de rien, prisonnier de tout
  • Avoir les rênes plus ou moins courtes selon les aspects vers lesquels on veut diriger
  • Je n’en appelle à dieu quand que je suis au lit ou au désespoir, des fois les deux combinés
  • Prier le pécheur, sermonner le prieur
  • J’ai pas quitté le nid, juste sauté dans celui d’à côté
  • Laisse-moi rire … enfin, pleurer dans mon cas/coin
  • On va se régaler … enfin surtout moi après le repas
  • C’est une broutille qu’il soit allé brouter une autre grosse vache
  • Raide is dead, désolé
  • Qu’est-ce que t’en dis ? J’en dis que tu ne me dis pas tout
  • Que tu ne me dises pas tout n’est pas grave, mais ne me mens pas
  • Je ne veux pas te mentir, mais je ne peux pas te dire la vérité
  • Ça va bientôt être à toi ! Ouais je sais, merci de me le rappeler !! Nerveux ? Non, juste pas envie de le faire !!!
  • Ce n’est pas de trop, voire même pas assez
  • Garder l’élan de la jeunesse, sans ses illusions
  • Venu de loin mais arrivé à temps
  • Femme qui rit à moitié dans ton lit, mais c’est la dernière moitié que j’ai du mal à concrétiser
  • Dans mon entourage il y a des nuages mais pas d’orage
  • Une multitude de détails, de petits riens, qui font un grand tout
  • J’entends tout ce que tu ne dis pas
  • La flamme brillera moins mais scintillera plus longtemps
  • J’ai besoin de toi, pas d’une leçon de moral
  • Je ne dirai rien temps que tu ne t’engageras pas
  • Aussi heureux qu’Adam et Ève avant que le serpent ne nous envoie tous en enfer, sur terre
  • T’étais censé X … puis t’es devenu amoureux
  • Qu’on s’occupe de moi mais qu’on me laisse vivre Libre
  • Ton odeur est mon oxygène parfumé
  • Un rocher auquel tu peux t’accrocher, pas te ventouser
  • Ô l’écœure
  • Quoi de neuf ? Toujours la moitié de dis-y (dix-huit)
  • La tolérance commence quand elle met en cause quelque chose chez soi
  • Faire taire le silence
  • Tout de go (expression apparue au milieu du XVIIe siècle. Elle est une déformation de l'expression 'tout de gob', gob étant un substantif tiré du verbe gober. 'Avaler tout de gob' voulait dire "avaler d'un trait"), la tête sur le billot (bloc de bois sur lequel on appuyait la tête d’une personne condamnée à la décapitation)
  • La danse est de la géométrie physique dans l’espace
  • Comme les autres, mais d’une manière différente
  • J’ai fait le tour par tous les détours
  • Dominé peut-être, soumis sûrement pas
  • C’est facile à dire quand on sait faire, c’est "facile à faire" quand on ne sait que dire
  • Mi-dieu mi-maître
  • Mieux vaut régner en enfer que servir au paradis
  • Incapacité de créer entraîne le besoin de détruire
  • Plus on contrôle les choses plus on évite que les autres nous empêchent de bien les faire
  • Ça ne garantit pas les résultats mais ça évite qu’on soit déstabilisé
  • Ça va, ça boume, ça baigne
  • Toute petit pièce, unicolore, d’un énorme puzzle de merde
  • Les gens prennent ce qui les arrange dans la religion et pour ce qui ne les arrange pas ils disent que c’est la tradition
  • Guerre civile entre ceux qui s’inquiètent des dérives du système et ceux qui font avec/ne voient rien
  • Poser des questions mais ne rien remettre en question
  • Jamais où on l’attend, toujours où on ne l’attend pas
  • Le maître du système est celui qui peut détruire le système
  • Ton culot/cul haut compense ton talent
  • Faudrait une nouvelle guerre pour éclaircir leurs rangs
  • Une pauvre paix est supérieure à une riche/puissante guerre
  • En t’offrant beaucoup de paradis je cours vers l’enfer
  • À quoi tu penses ? C’est secret défense !
  • Réponse futée à une question idiote
  • Je Kill et Mystère Hide (je tue et le mystère se cache)
  • Ne cafte que si on te demande de cafter
  • On est toujours l’idiot d’un autre
  • Vaut mieux se planter avec panache que réussir sans gloire comme les autres
  • X que j’aime contre prières que dieu aime tant
  • La peur naît de ce qu’on ne peut pas contrôler
  • Refuser le Savoir c’est lâcher le contrôle
  • La Mort ne nous facilite pas la vie, elle qui est la fin de notre entité biologique
  • À chaque action une réaction (Newton)
  • T’encombre pas la tête, y a pas la place
  • Quand on contemple son avenir il faut être clair sur son passé
  • Toujours penser, jamais agir
  • Je n’ai même pas le bleu, ni du ciel ni de l’océan, comme limite
  • L’hiver n’est pas éternel, au printemps la neige fond
  • À l’agonie le serpent mord plus fort
  • On va faire une expérience : toi tu vis ta vie moi je vis la mienne
  • Le corps en aventure, elle s’abandonne puis s’endort
  • L’homme est le seul animal avec la queue devant et qui court après elle (F-O Giesbert)
  • L’amitié c’est l’Amour sans le sexe
  • Voir si le gazon est plus frais et maudit chez la voisine/girl next door
  • Avec elle, j’ai juste fait du lèche-vitrine, je ne suis même pas entré dans le magasin, encore moins visité l’arrière-boutique
  • Tu crois que c’est raisonnable ? Tu m’as déjà vu raisonner ???
  • Si c’est elle la guide, je suis bien d’accord pour la suivre et jouer
  • Au bénéfice du doute, mais quel doute ?
  • Tu ne gères ni ta raison ni ta parole
  • Effleure le petit bourgeon et elle s’ouvrira comme une fleur
  • Passons vite du monologue interne au dialogue externe
  • Les souvenirs se bonifient avec le temps, comme le bon vin
  • Montre-moi ce que tu as et dis-moi ensuite ce que tu veux
  • on devrait peut-être s’embrasser, ce serait plus détendu après
  • grands yeux de chien battu et petite voix d’innocent
  • j’essaie de passer un jour pas trop dur en attendant le soir où je me coucherai à tes côtés
  • Le tourisme est une arme pour faire la Paix
  • T’es politiquement de quel bord ? Extrême-centre !
  • Ce qu’il reste est ce qu’on dit ou fait, pas ce qu’on pense
  • «Sacrifie un lapin blanc à Spes » (déesse de l'espérance : Spes est habituellement représentée sous la forme d'une femme debout, ou marchant, tenant dans sa main droite une fleur, car là où une fleur apparaît il y a l'espoir d'un fruit à venir. Sa main droite est habituellement employée à relever un pan de sa robe translucide. Quelquefois elle tient dans sa main gauche une corne d'abondance avec d'autres symboles.)
  • L’image du souvenir est floue, imparfaite, pas nette
  • Je veux voir plus de Laurel que de Hardy (dans la vie, Stan Laurel est l’inverse de son personnage à l’écran, dans le duo, c’est lui le cerveau face au petit gros)
  • Je pleure dans l’océan, il n’y a que là que mes larmes paraissent petites
  • Seul mon propre succès peut m’arrêter
  • La folie c’est répéter les mêmes choses en s’attendant à des résultats différents
  • J’étais entré là pour savoir où était la sortie
  • entre réalité et désir, entre besoin et ce qu’on veut
  • le plus de X dans le moins de Y
  • Si t’as besoin d’aide tu ne m’appelles pas, si t’as besoin de rien je suis là pour toi !
  • Toute cellule crée son propre tueur et protecteur, et ne survit que si l’interaction est idéale avec son milieu et les autres cellules
  • Récit de chacun pour aventure de tous les autres
  • ne regarde pas ce que je montre
  • situation grave et presque désespérée : les prieurs picolent, les picoleurs prient
  • on dit « piégés comme des rats », mais les rats ne se laissent pas piéger si facilement
  • mégère (femme méchante, acariâtre, qui s'emporte facilement : nom d'une des trois Furies, déesses symboliques de la vengeance) pas apprivoisée
  • se la secouer plus de deux secondes c’est se la tripoter
  • j’ai perdu ma crédibilité, j’emprunte donc la tienne
  • tes défauts ? Faut prendre du recul pour apprécier une œuvre d’art
  • je suis la mascotte d’une entreprise malfaisante
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24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 11:47

Etant donné la quantité d’informations mythologiques/historiques/astronomiques que nous devons synthétiser pour donner une vue précise de tous les tenants et aboutissants de ces célébrations, l’article complet sera mis en ligne au fur et à mesure.

 

Le carnaval, héritage des Saturnales, des Bacchanales, des Lupercales des Anciens, de la fête des Fous ou de l'Âne, a toujours été jugé scandaleux de par ses travestissements et excès de tous genres, mais il n´en a pas toujours été ainsi dans le monde antique. Ce n´est que sa dégénération qui obtient comme résultat d´être interdit maintes fois dans l´Histoire.

Le carnaval est une tradition archaïque liée aux cycles saisonniers et agricoles. On fait dériver le mot carnaval de carne (pour caro, chair) et levare (lever, enlever, ôter) pour se dédommager de l'abstinence imposée pendant le Carême.

 

L’historien des religions Mircea Eliade écrit : « Toute nouvelle année est une reprise du temps à son commencement, c’est-à-dire une répétition de la cosmogonie. Les combats rituels entre deux groupes de figurants, la présence des morts, les saturnales et les orgies, sont autant d'éléments qui dénotent qu’à la fin de l’année et dans l’attente du Nouvel An se répètent les moments mythiques du passage du chaos à la cosmogonie »8. Eliade écrit encore : « Alors les morts pourront revenir, car toutes les barrières entre morts et vivants sont brisées (le chaos primordial est réactualisé) et reviendront puisqu'à cet instant paradoxal le temps sera suspendu et qu'ils pourront donc être de nouveau contemporains des vivants »8. Eliade souligne que les peuples ont « d’une manière profonde le besoin de se régénérer périodiquement en abolissant le temps écoulé et en réactualisant la cosmogonie »8.

Dans l’essai Le Sacré et le Profane Mircea Eliade écrit : « L'abolition du temps profane écoulé s’effectuait au moyen des rites qui signifiaient une sorte de « fin du monde ». L'extinction des feux, le retour des âmes des morts, la confusion sociale du type des saturnales, la licence érotique, les orgies, etc. symbolisaient la régression du cosmos dans le chaos »9.

 

 

Les coutumes sociales extravagantes du carnaval rappellent les célébrations de l’équinoxe du printemps, dont les Sacaea babyloniennes (akitu assyrien) et le Norouz iranien : on y célèbre la victoire du nouvel an sur l’ancien.

 

La fête akitu apparaît dans des textes relatifs à plusieurs des villes majeures du pays de Sumer, dans la seconde moitié du -IIIe millénaire. Elle est notamment attestée à Ur, Uruk et Nippur. La première est peut-être la cité d'où est originaire cette fête, qui s'y déroulait alors deux fois dans l'année, aux deux équinoxes (à l'équinoxe jour/Vie et nuit/Mort ont une durée identique, la variation journalière de la durée du jour et de la nuit est la plus grande, et le Soleil se lève à l'Est/naissance et se couche à l'Ouest/décès). La date de l'équinoxe peut se déterminer en observant le lever du Soleil, par rapport au point situé plein Est (ou plein Ouest pour le coucher) : l'équinoxe de printemps a lieu le jour où le Soleil cesse de se lever au sud de ce point, pour se lever au nord (et inversement pour le coucher du Soleil, et/ou pour l'équinoxe d'automne). L'instant exact peut s'apprécier à partir de l'azimut solaire à ces deux levers consécutifs, en interpolant le moment où le Soleil passe à l'azimut 90° (ou 270° pour le coucher).

L’Akitu était à l’origine la fête du printemps sumérienne consacrée au couple Inanna/Ishtar (déesse de l’Amour et de la guerre, identifiée à la planète Vénus, Étoile du matin) et Dumuzi (dieu-pasteur et dieu de la fertilité, berger-roi – le cinquième roi légendaire antédiluvien qui régna avant -2 900 sur Bad-Tibira ‑ uni à Inanna) dans un très ancien rite de mariage sacré.

 

Dans la Descente d'Inanna aux Enfers, il est choisi par sa parèdre (« qui est assis à côté de : divinité souvent inférieure en prérogative, habituellement associée dans le culte à un dieu ou une déesse plus influent, ici Inanna) pour la remplacer aux Enfers. Inanna remonte sur Terre, accompagnée de démons envoyés par les dieux des Enfers pour la surveiller et pour trouver une victime de substitution. Elle se rend d'abord à Umma et à Bad-Tibira, dont les divinités tutélaires se prosternent devant elle, échappant ainsi à la mort. Elle visite ensuite Kullab, où réside son époux Dumuzi, qui lui l'accueille sur son trône, dans ses plus beaux vêtements. Inanna, furieuse de le voir aussi peu respectueux, dit aux démons de s'emparer de lui, et de l'emmener aux Enfers à sa place. Il est donc mort (ce qui a donné naissance à des textes de lamentation), et est alors considéré comme une divinité infernale. Il se fait cependant remplacer une moitié de l'année par sa sœur Geshtinanna. Ainsi le passage des saisons trouvait une explication dans la vie des dieux, le retour de Dumuzi sur terre étant vu comme le début du renouveau de la nature. Cela est notamment marqué dans les rituels mésopotamiens par le mariage sacré (hiérogamie, cf. Institutionnalisation et encadrement de la masculinité dans la reproduction), dans lequel les rois sumériens interprétant Dumuzi s'unissaient rituellement à la déesse Inanna (la scène se terminait par un coït avec la grande prêtresse de son temple, consommé devant la multitude), pour marquer le retour du printemps. Le cours de la nature dépend donc du roi (« Souveraineté et Fécondité sont des puissances solidaires », dit Dumézil), son affaiblissement et la mort naturelle qui s'ensuivraient compromettraient la vigueur de tous. On tue donc le roi quand il commence à décliner parce qu'il ne faut pas que sa maladie se communique à son peuple. D'autre part, on renouvellera périodiquement sa vigueur (par exemple au moment de l'année où tout est censé repartir à zéro) en le supposant mort, puis ressuscité. Pendant son éclipse, un autre prendra sa place ‑ c'est ainsi que Phaéton se substitue au Soleil ‑ et périra aussitôt, laissant le roi recommencer un nouveau règne avec l'appoint des forces libérées par la mort de la jeune victime.

 

Ainsi, une cérémonie des mystères encore plus importante que celle de la noce sacrée était celle de la mort et de la résurrection de Marduk. On récitait l'Enuma-Elish, la représentation rituelle de la mort et de la résurrection du monde. Marduk étant aux Enfers, le monde était ramené au temps du chaos primordial symbolisé par Tiamat comme serpent gigantesque (à qui l'on opposait Marduk, le dieu du renouveau). La mort de Tiamat signifiait l'émergence d'un monde nouveau.

La mort du dieu était célébrée par une inhumation rituelle, où le corps était déposé dans un caveau. Pendant ce temps, l’annonce de la mort de Marduk suscite une émeute dans la ville ; les désordres sont considérables. Si l’on en juge d’après certaines données sumériennes, en partie chez les auteurs grecs des époques avancées, ces troubles auraient dégénéré en une sorte de carnaval : le souverain de la terre et des cieux n’étant plus là, tous les liens sont rompus, les serviteurs deviennent les maîtres, les esclaves prennent toutes les libertés. Le roi, dont la présence est nécessaire aux mystères, est remplacé par un souverain de mascarade, un criminel condamné à mort, que l’on revêt des vêtements royaux et des insignes régaliens, le sceptre et la couronne. Il lui est permis ces jours-là d’en agir à sa guise et de faire ripaille ; mais sa fortune est de courte durée, car dès la fin de la fête il est battu de verges et pendu. Il apparaîtrait que le Zoganes (le substitué), durant les cinq jours de son ministère, personnifiait non seulement le roi, mais le dieu babylonien Marduk lui-même. La réunion des caractères divin et royal en une même personne est si commune qu’il ne faut pas nous étonner de la rencontrer dans l’antique Babylone. Il n’est pas non plus nouveau de voir le faux roi des Sacaea mourir, en qualité de dieu.

 

 

Le rituel des Sacaea babyloniennes est connu par des auteurs grecs. Dans le IVe discours de Dion Chrys. sur la royauté (ch. 69), Diogène raconte l'histoire à Alexandre pour lui montrer la vanité des attributs royaux.

Ces fêtes se déroulaient entre la nouvelle lune et la pleine lune de printemps. Elles mettaient en scène la mort du dieu Marduk (à l’origine dieu agraire, il symbolisait au départ l'action fertilisante de l'eau car, fils de Enki/Ea, il est issu de l'Apsû : il fait croître la végétation, mûrir le grain), son séjour au royaume des morts où son combat contre les puissances du Chaos (menées par Tiamat) allait assurer le triomphe de la vie, et recréer le monde. Tiamat est la mère de tout ce qui existe, incluant aussi les dieux eux-mêmes. Son époux est Apsû, la personnification des abîmes d'eau douce qui gisent sous la terre. De leur union, de l'eau salée de la mer et de l'eau douce des abîmes, naissent les deux premiers dieux : Lachmu et Lachamu, parents d'Ansar et de Kisar, grands-parents d'Anu et de Ki qui enfanteront Enlil et Ea ainsi que les autres dieux de l’époque historique.

 

Marduk, après sa victoire contre Tiamat, devient le dieu unificateur car toutes les vertus divines fusionnent en lui : il supplante son oncle Enlil comme dieu suprême du panthéon. Dieu de la cité de Babylone, c’est lui qui organise l’univers, qui établit les demeures des dieux, qui fixe le cours des astres ; c’est lui qui crée l’humain de son sang : il est le maître de la vie, le grand guérisseur et prend la place de son père Ea dans les incantations magiques.

Chaque hiver, on pensait que Marduk était obligé de vaincre les monstres du Chaos pour renouveler le monde. L'humain devait aider son dieu créateur dans ce combat et pour cela les Mésopotamiens tenaient un festival du nouvel an, appelé Zagmuk (en sumérien et Akitu en akkadien, signifiant « commencement de l'année »), durant les douze premiers jours du mois de nisan (« premiers fruits » : avril). La fête célébrait la victoire annuelle du Soleil et commémorait aussi le premier Zagmuk, celui qui vit la première victoire de Marduk sur les divinités chaotiques. Prières et incantations, purifications et offrandes rythmaient la cérémonie qui se déroulait en plusieurs parties. Les cérémonies commençaient le premier jour de nisan coïncidant avec l'équinoxe du printemps.

 

On ôtait son pouvoir au roi en lui retirant ses symboles royaux. Il devait ensuite mourir avant la fin de l'année pour rejoindre Marduk dans les ténèbres souterraines et l'aider dans son combat. Un nouveau roi le remplacerait sur son trône. Pour sauver sa vie, le vrai roi cédait sa place à un substitut qui était sacrifié pour la cause. On choisissait un criminel et on l’habillait des vêtements royaux, lui accordant le respect et les privilèges dus à un roi véritable. 

Pendant la durée de ces fêtes dites saquaïques (ou fêtes des tentes), tout esclavage disparaissait pour faire plaisir à la déesse. On retournait au chaos primordial. « Toutes les distinctions de rang que la hiérarchie sociale a mises à la place de la fraternité primitive sont supprimées. Ishtar, représentée par une courtisane, préside la fête. Ses yeux sont noircis au stilbium, ses membres chargés de joyaux. Elle se prélasse sur un divan magnifique, à l’ombre d’une haute tente. Devant elle s’étalent des tables chargées d’huile et d’encens. Elle attend l’arrivée de l’amant divin et de sa suite [1]… ». Ainsi la décrit Ezéchiel : « Tu t’es assise sur un lit d’apparat, devant lequel une table était dressée où tu avais mis encens et huile. On entendait (devant toi) la voix joyeuse d’une foule insouciante, à cause de la multitude des hommes amenés du désert (XXIII, 41). »

Le conjoint qu’on lui destine et qui est appelé Zoganes prend place sur un trône. Les insignes de la royauté marquent son nouveau rang. Pour le peuple, il incarne Hercule, comme la prostituée représente Ishtar. Lui a revêtu la robe transparente et les bijoux des prostituées lydiennes et il s’occupe à carder la laine comme Sardanaple ou Hercule aux pieds d’Omphale. Toutes les concubines du souverain sont à sa disposition.

Ainsi s’écoulent fête à la fin desquels, est brûlé vif sur un bûcher. Comme Hercule sur l’Œta. Alors le pouvoir du roi qui avait abdiqué en faveur de l’esclave est restauré.

À la fin des cinq jours de festivités, après que le Zoganes se soit uni à la prostituée, on arrachait ses habits à ce faux-roi et on l’exécutait, épargnant ainsi la vie du vrai roi. Le feu (pyra) dévore le Zoganes, roi de la fête qui devait porter tous les bijoux dont les courtisanes rehaussaient leurs charmes. Cette immolation en l'honneur de Marduk assurait la fertilité des champs.

Le jour du nouvel an assyrien, le roi ayant abdiqué, celui-ci ne retrouvait sa puissance qu’après être passé dans le lit d’Ishtar. On a trouvé à Tell Asmara des figurines de plomb qui représentent l’union du roi et de la déesse. L’homme est debout et la femme à moitié étendue sur l’autel. Le roi se glorifie de ses heureuses amours avec la déesse. « Il lui avait dressé un lit de cèdres et alors la déesse l’a embrassé… ». L’origine sexuelle du pouvoir et sa restauration solennelle par des rites sexuels ne sont pas si exceptionnels, même s’ils ne s’entourent pas de tout le décorum et de toutes les résonances mythiques des fêtes saquaïques. Puisque le souverain est d’abord tenu pour responsable de la prospérité de son peuple et que cette prospérité est surtout agricole, il faut que le souverain participe au pouvoir du féminin. C’est pourquoi le coït pratiqué avec la grande prêtresse est souvent un instrument juridique d’accession ou de conservation du pouvoir. Pour célébrer la victoire de Marduk, on organisait des défilés dans la rue principale et des régates sur l'Euphrate. On se rendait des visites et on s'échangeait des cadeaux.

 

Les Perses avaient une fête similaire à Zagmuk qui s'appelait Sacaea (qui proviendrait de « cerf », animal puissant qui renouvelle chaque années ses bois, ou du chien qui est lié à la Mort et à la guérison ; voire de « être puissant » ou « bouger » au sens de mener une existence nomade). Durant celle-ci avait lieu aussi un échange de rôles, mais au niveau des esclaves qui devenaient les maîtres et les maîtres qui devaient obéir. Les inversions des rôles, l'élection du roi d'un jour et les mascarades faisaient parti de cette fête.

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 19:49

•    Ce n’est pas possible, mais comment nier l’évidence présente sous nos yeux éberlués
•    Prolonger sa vie ne fait que mettre en péril la mienne
•    Je ne partage ma sagesse qu’avec ceux qui la recherchent
•    L’intelligence n’est pas un privilège mais un don à mettre à la disposition de tous
•    Ta façon de regarder ou d’éviter de regarder dit tout
•    On ne peut pas recommencer ce qui n’a pas commencé
•    Les cellules humaines contiennent 46 chromosomes (elles sont diploïdes, par paires), qui sont les porteurs des informations génétiques propres à chacun d’entre nous. Les gamètes font exception et n’en comptent que 23 (ce sont des cellules haploïdes). Ces définitions ne concernent que les organismes eucaryotes (Protistes, Animaux, Végétaux, Champignons), qui possèdent de vrais chromosomes. Elle exclut donc par exemple les bactéries qui n'ont pas de noyau et possèdent des chromosomes d'un type particulier. Les mousses au stade végétatif sont haploïdes. La reproduction sexuée qui implique un échange génétique met en jeu des mécanismes de réduction (méiose) et d'augmentation (fécondation) de la répétition des chromosomes (ploïdie). Le cycle de vie d'un organisme eucaryote comprend donc nécessairement une alternance de stades avec des niveaux de répétition chromosomique différents : on parle d'alternance de phase (voir cycle de vie). Chez les humains, et la plupart des animaux, la phase haploïde (n) est très réduite. Elle correspond à la formation des gamètes : spermatozoïde ou ovule. L'organisme (le corps) se développe en phase diploïde (2n): les cellules contiennent chacune les chromosomes en double exemplaire.
•    Cette chose/personne a fait de moi ce que je ne suis pas (ou que je me refuse à être)
•    Prendre les femmes pour ce qu’elles ne sont pas, les laisser pour ce qu’elles sont
•    Se voir, se revoir, s'émouvoir
•    Pour vivre heureux vivons couchés
•    L’identité sexuelle ne sert que pour le mariage et l’armée
•    J’ai mis le pied à l’étrier, même si je ne suis pas monté en selle de la jument
•    Les hommes veulent l’imiter là où les femmes veulent le changer
•    Les souvenirs peuvent être une souffrance comme l’oubli peut être une bénédiction
•    La seule chance qu’a encore notre histoire est la rupture
•    Faut p(r)endre le taureau par les cor(o)nes
•    Je ne dis jamais que j’aime, sauf pour me rassurer face à une histoire qui fout le camp
•    La vulgarité du cœur est la pire
•    Les feux de l’amour à côté de notre histoire c’est limpide
•    Accro à ton corps, retors à ton cœur
•    Une histoire qui n’avait pas la bonne fin, mais qu’on ne pouvait pas réécrire
•    Parfois, pour s’accomplir, faut abandonner ses rêves
•    Je suis moins doué pour résoudre les problèmes que pour les créer
•    Plus le temps passe plus je me dis que j’ai de moins en moins de temps
•    les conséquences de la colère sont beaucoup plus graves que ses causes (Marc Aurèle)
•    Suis ton propre chemin, peu importe où il te mène
•    Si la vie était belle ça se saurait
•    Debout les crabes, la mer monte
•    Le monde réel est pour ceux qui ne peuvent imaginer mieux
•    Je ne suis pas rassuré de ne pas être assuré
•    La fierté est à la ruine ce que la suffisance est à l’humiliation
•    On ne peut pas le débrancher, il est devenu autonome
•    Lointain et hautain, enfermé dans son fortin
•    Quitte à se distinguer, autant le faire avec distinction
•    Apprendre les uns avec les autres et les uns des autres
•    Gratis pro deo : expression latine du Moyen Âge signifiant gratuitement pour l'amour de Dieu, et qui s'emploie, ironiquement, avec le sens de gratuitement pour soi
•    Parce qu’il est sourd il croit que personne n’entend
•    Plusieurs c’est plus que quelques, et presque beaucoup
•    Il n’a pas été le héros que j’aurai voulu qu’il soit, d’ailleurs il a plutôt même été un zéro
•    Je n’ai pas à me plaindre, et même si je devais je ne le ferais jamais car il y a toujours pire ailleurs
•    Je prends le risque de la voir/l’avoir ou l’amour qui m’attend au tournant n’est qu’une illusion ?
•    Tu me casses les couilles alors qu’il y a mieux à faire avec
•    Je me sauve, j’aurai fini par te faire du mal
•    Les belles sont jamais libres et les libres sont rarement belles, mais moi je prends ce beau petit lot et lui libère les hormones par choc émotionnel intense
•    Je n’ai que des doutes, aide-moi à avoir des certitudes
•    Tu me raccompagnes ? Non, je te séquestre/sexestre
•    Boy friend Vs sex friend
•    Ah bon, c’est toi maintenant qui fais la loi, tu te prends pour Clint Eastwood dans l’Inspecteur Harry ?
•    Que je te demande de X, je ne demande pas si c’est possible, je veux que
•    Si tu veux te fondre parmi les moutons ne sois pas un chien mais un lapin, si tu veux manger avec les tigres ne sois pas un lion mais un chat
•    Le vermisseau s’est transformé en serpent
•    Plaisanterie de garçon de bain turc
•    On n’est jamais trop vieux pour gâcher la vie des jeunes
•    Quels que soient nos problèmes, on a toute la vie pour les résoudre
•    Tristesse et joie sont à la même mesure : immense
•    Ajouter des fautes aux erreurs après les maladresses
•    Je dois plaider, pas plaire
•    Laïcs, croyants, pratiquants, intégristes, sectaires
•    Une éclipse c’est comme un décolleté féminin : c’est beau et gratuit, t’en prends plein la vue, mais ça peut brûler les yeux si on regarde trop longtemps et sans protection adaptée
•    Ma raison dit non mais mon cœur supplie d’aller plus loin, quant à ma bite elle s’en foutre
•    S’il te plaît, fiche-moi la paix
•    Vas t’en, même si on a eu de bons moments
•    Quand elle ouvre sa bouche on voit sa culotte
•    Ah ma tête, sacrée fête, vite aspirine et RU486 (pilule du lendemain : Hormone stéroïde anti-progestative dérivée de la noréthindrone, elle se fixe spécifiquement sur le récepteur de la progestérone et inhibe son action, notamment sur l'utérus. La mifépristone va bloquer l'action progestative sur ses récepteurs muqueux et ainsi entraver le développement embryonnaire et entraîner le détachement puis l'élimination de la muqueuse utérine (dans un processus similaire à ce qui se passe pendant les règles). Il est fort probable que la mifépristone, grâce à son cycle aromatique extrêmement activé, soit capable de capturer les agents oxydants (peroxynitrites) permettant l'affaiblissement nécessaire du système immunitaire, affaiblissement qui permet normalement d'éviter le rejet de l'embryon. L'action de la mifépristone nécessite de prendre dans un deuxième temps (en général deux jours après la prise initiale de l'anti-progestatif) une prostaglandine (misoprostol en général) qui va provoquer des contractions utérines et favoriser l'élimination de la muqueuse et de l'embryon. L'expulsion se produit alors en général dans la demi-journée suivant la prise de prostaglandine)
•    Tu veux qu’on joue de la Monica comme Bill dans son bureau ovule … euh, ovale ? Non ! Ouf, tu me rasures !!!
•    J-anus à deux visages : boîte à caca et boîte à délices du vice
•    Éliminer tous les risques avant qu’ils ne deviennent une menace potentielle
•    Il faut que j’urine sur ce feu
•    Quand on gratte une plaie pendant X temps, elle ne se referme pas comme ça
•    Vas, temps, et ne reviens pas sur tes pas
•    Je suis parti si longtemps qu’à présent je préfère y rester
•    T’es triste à faire pleurer un oignon
•    Les humains ont allumé des feux pour couper la route aux proies, favoriser les fruits comestibles aux dépends des forêts, débroussailler les chemins
•    Chaque fois qu’elle me parle j’ai le cerveau qui se met en veille
•    Les choses changent mais toi non
•    Pourquoi et qu’est-ce qui me met dans cet état quand je suis seul avec toi ?
•    fariboles : propos ou choses frivoles, de peu d'importance. Propos sans consistance ou peu sérieux. Synon. baliverne, sornette
•    elle te choisit, elle te possède
•    Ne fais pas d’une personne ta priorité quand pour elle tu n’es qu’une option
•    Il n’est pas blanc-bleu : n’a pas une réputation intacte
•    Quand la déception fait suite à la haine, il veut tout détruire
•    Je me sens plus seul et abandonné qu’un corrompu à un rendez-vous avec la mafia
•    Je suis chaud comme une brioche qui sort du four
•    Je suis redevenu n’importe qui … et même personne
•    ce qu’il a construit est plus grand que lui
•    quand les gens d’arme rient, les gens d’âme pleurent et le Peuple grimace
•    La loi, cette pète-ass
•    Les échecs sont connus, les réussites ignorées
•    Petits secrets, grands mensonges
•    cuckoo = dingue mais aussi cocu (on peut distinguer les coucous de l'Ancien Monde (Cuculinae) des coucous du Nouveau Monde (Coccyzinae). Outre leurs différences morphologiques, les seconds se distinguent des premiers par le fait qu'ils construisent des nids fragiles et ne parasitent pas les nids d'autres oiseaux comme les coucous de l'Ancien Monde)
•    Une journée perdue que je ne retrouverai jamais
•    Ne fais pas ce que tu regretteras demain ! Ce soir, sur l’instant, ça va me faire du bien et me soulager
•    Comme le parfum : faut le sentir mais pas le boire
•    Tu dois faire des ravages chez la gente féminine ? Ça dépend des fois et des femmes
•    Préoccupez-vous davantage de votre caractère que de votre réputation, car votre caractère représente ce que vous êtes vraiment, tandis que votre réputation n'est que ce que les autres pensent de vous
•    Faîtes des trucs ensemble pendant que moi je fais sans vous
•    Je suis aux anges que mon fils soit fier de moi
•    Sans m’en vanter, je ne le renie pas pour autant
•    Du crottin de cheval dans un écrin de velours
•    Je regarde ton nez et je vois tes entrailles
•    "L'espérance est un aliment de notre âme, toujours mêlé du poison de la crainte." Voltaire
•    C’est la pierre pour écraser la mouche
•    L’alcool rend de plus en plus joyeux, puis en haut de la cloche, rend de plus en plus triste/coléreux
•    J’en ai toujours rêvé mais je n’ai jamais eu l’occasion de le concrétiser
•    Noyer son chagrin dans l’eau-de-vie, dans l’al-cool
•    AA, t’oses pas dire Alcoolique Anonyme ?
•    Grandir veut dire grandi ose
•    Ici, là-bas, ailleurs, partout, nulle part
•    Un héros si extra-ordinaire que le costume moulant est trop grand
•    Doux, dure, dingue
•    Quand je m’ausculte je me désole, quand je me compare je me console
•    T’as fini par devenir un petit garçon : l’homme que toute mère voudrait avoir est une femme
•    La Mort est le seul chemin/guide qui mène à la (Re)Naissance
•    Le mariage est un dîner qui commence par le dessert
•    Part avec moi, je ne veux pas crever tout seul
•    Vigilance et patience sont les deux maîtresses du chasseur.
•    Réglons les problèmes, ensuite je pourrai mourir tranquille
•    À présent que l’incroyable est fait, passons à l’impossible
•    Une bonne action reste à jamais impunie
•    C’est impoli de dire malpoli (terme familier)
•    Là où y a de la volonté il y a de l’avenir
•    Pleurer toutes les larmes de son cœur/corps
•    Je suis un funambule en équilibre sur un fil tendu entre la réalité et la fiction
•    Je sais ce que je veux, en rapport avec ce que je vaux
•    Avec la drogue on oublie ses problèmes, ensuite ils reviennent au centuple
•    On croit ce qu’on comprend
•    Y a pas de mot ni de larme pour exprimer ça
•    Quand tu te réveilleras, tu seras mort
•    Éteins-toi pauvre étincelle, tu n’es qu’une flamme chancelante qui luit peu dans l’ombre de la nuit
•    Profitons bien jusqu’à demain matin, après on verra bien
•    Quand on mouille plus, faut avoir du liquide
•    Je te répondrai quand j’aurai la réponse
•    Une proposition bateau, de basses-eaux
•    smegma est, de manière générale, la sécrétion d'une glande sébacée. Ce terme sert en particulier à désigner la substance blanchâtre et caséeuse, composée de débris de cellules épithéliales mortes et de sécrétions sébacées lubrifiantes, qui s'accumule souvent sous le prépuce ou dans la région vulvaire autour du clitoris. Le smegma est produit de manière naturelle chez la plupart des mammifères, mâles et femelles - y compris les humains - et sert à nettoyer et lubrifier les organes génitaux.
•    Son point faible est devenu son point fort
•    Heureux d’être content pour toi
•    Peu importe qui elle est, c’est un putain de problème
•    J’arriverai jamais à croire que j’ai pu vivre sans
•    Une longue descente aux enfers pour une courte ascension au paradis
•    Une nouvelle phase amoureuse : la flamme est un peu moins brillante mais dure plus longtemps
•    Elle a un mec, elle est maquée ? Non, enfin je ne crois pas, ou alors rien de sérieux
•    Ma seule faiblesse est que je sois faible
•    C’est en allant loin avec l’autre qu’on sait si on est proches
•    On n’a pas quitté l’âge de pierre parce qu’il n’y avait plus de pierre, pour le pétrole ça devrait être pareil
•    Cancaner (quand le canard crie : Empr. au lat. quamquam « quoique », conj. empl. dans les disputes d'école) : Bavarder, répandre des propos malveillants
•    Plaisir d’offrir, joie de recevoir
•    Tant qu’on aura des potes qui font n’importe quoi, relativement nous ce sera toujours mieux
•    Beaucoup en rêvent, nombreux sont ceux qui n’y croient pas, certains en sont persuadés
•    Plus on me tape sur la tête plus elle s’endurcit
•    Si les autres croient en moi, moi aussi je peux peut-être croire en les autres
•    Un peu mon neveu que je veux
•    Je suis fier comme un vaquère de ce que je suis/sais, et j’ai pas honte de le dire
•    Nous les faibles, nous ne sommes forts qu’en Collectif
•    Un coup de tonnerre dans un ciel de printemps
•    À partir de maintenant, tout le reste n’est que du bonus
•    Au plaisir de la découverte s’ajoute le poids de l’histoire
•    La plus belle victoire est celle sur son cœur
•    Aussi haut que le ciel et profond que l’enfer
•    Ocre + frais/sec/sombre/ventilé protège et assèche le corps comme pour embaumement
•    Je suis en-dessous de tout
•    La vie est un hasard contraire aux destinées
•    Parpaillot [de l’occitan parpaillo, parpalho(n), (lombard parpaya, piémontais parpayun, italien parpaglione), « papillon », peut-être par allusion à l’infidélité des protestants, butinant d’église en église] : Personne qui ne pratique pas sa religion ou qui n’a pas de religion.
•    Diable s’habille en nada de nana
•    Bouteillon (Marmite métallique aplatie et cintrée dont le couvercle peut servir d'assiette, utilisée par les soldats en campagne ou en manœuvre depuis la Première Guerre Mondiale, puis par les campeurs : du nom de Bouthéon, intendant militaire, inventeur de cet ustensile) : [P. réf. à la marmite dont le couvercle cache la médiocre réalité] Fausse nouvelle qui circulait dans les camps de prisonniers pendant la Seconde Guerre Mondiale, racontar
•    J’ai rien compris de ce que tu viens de me dire : ça m’angoisse et m’énerve
•    J’y vais ! Où tu vas ? Là-bas !!!
•    Je ne suis pas le seul à être fidèle à ma femme
•    Faut-il faire taire son/sa X ou sa culpabilité ?
•    Ta bouche sourit, mais tes yeux sont sérieux
•    Là-dessus c’est non ! Je ne demandais pas ta permission
•    On ne te demande pas ta permission mais un coup de main
•    Chaque jour est pire que le précédent
•    Plus qu’un passage obligé, une impasse
•    Faut bien quelque part, mais ailleurs c’est mieux, Not In My BackYard (NIMBY, pas dans mon jardin)
•    L’échangisme consiste à transformer la Liberté en plaisir
•    Quand les emmerdes dépassent le plaisir, arrête
•    Un(e) de perdu(e), dix années de recherche
•    Mon cœur est vacillant mais mon intellect est toujours autant trop vaillant
•    Si tu fais ça tu as fait ton choix ! Tu viens de choisir pour moi !!!
•    j’ai perdu tout ce qu’elle m’avait donné
•    au lieu de te protéger je t’ai fragilisée
•    si un auteur savait séduire les femmes, il ne serait pas auteur
•    une belle plante desséchée, que j’ai vivifiée par la rosée de mon Amour
•    la colère rentrée est la pierre angulaire d’un mariage durable
•    tu es le meilleur que j’ai pu avoir selon mes moyens restreints
•    la passion c’est pour les ados et les romans à l’eau de rose
•    sucette : il est dur à l’extérieur, mais sucé il révèle un cœur crémeux à l’intérieur
•    Tendres pensées, souvenirs inestimables
•    Lui est un ami qui a confiance en moi, j’aimerais que toi aussi tu aies confiance en moi
•    oui non t'inquiète, ça gère
•    comme si un camembert disait à un munster qu’il pue
•    chacun pour soi, tous contre tous
•    ne pas mourir, ou pas aujourd’hui, on verra ça demain ou un autre jour
•    encre encore fraîche sur diplôme de X
•    c’est mieux que tout car je n’y peux rien
•    j’ai touché le fond, le 36è dessous 20 000 lieux sous l’amer, mais bientôt je remonterai à la surface faire mon come-back
•    comment peux-tu dormir avec ça sur la conscience ? Je me drogue !
•    je suis prêt à tuer comme à mourir pour X
•    si la société a changé, la Nature est restée la même
•    quand on trouve une règle dans la Nature, elle change
•    la seule chose que je peux confirmer c’est qu’on ne peut rien affirmer à l’heure actuelle
•    le Grand Soir ne fait plus peur car il ne fait même plus rêver
•    Tes déficiences paraissent moins des évidences
•    Baise(rs) doi(ven)t finir ce que les caresses ont commencé
•    Trop jeune pour avoir (re)senti la chaleur d’un homme/d’une femme
•    Nous deux ça sonne faux déjà
•    Ça me touche ! Donc je peux te toucher moi aussi ?
•    Un duo qui vire au duel de deux (indivi)dualités
•    Faire coulisser la groupie dans la back-room derrière le back-stage
•    Si tu as plus de paradis, j’ai plus d’enfer
•    Sculpter cette argile imparfaite qu’est l’humain, à deux mains à la manière de Ghost
•    La Liberté n’est pas free, elle a le prix le plus élevé, celui du sang
•    Un début pour nous, des mouvements de fin pour eux
•    La folie se déclare quand les biens sont plus importants que les personnes
•    le talent sans travail n’est jamais qu’une mauvaise habitude
•    La raison s’égare pour laisse place à la dépression/dépréciation, puis celle-ci disparaît pour laisse place à la névrose (troubles psychiques sans lésion organique démontrable. Le sujet reste conscient de sa souffrance psychique et vit dans la réalité), voire le mental se désagrège et c’est la folie entre le réel et l’irréel
•    Nourri de certitudes tranquilles
•    Je m’en fous, je suis fou
•    Pas obsédé, juste trop curieux
•    Faut jamais briser les rêves d’un idéaliste, c’est comme réveiller un somnambule
•    Tu ne vaux même pas ton salut
•    Rien n’est neuf sauf ce qu’on a oublié
•    La dernière génération est déglinguée avant l’âge, elle est sans garantie de performance
•    La mort n’est pas si grave même si le final est fatal, faut juste se préparer au choc du départ
•    Je ne suis personne, mais toi t’es encore moins autrui
•    Beware : type ordinaire mais très colère (beware of the dog : attention, chien méchant)
•    Arrête de me frapper dans l’aine/l’haine
•    À bon entendeur, salut (celui qui entend/comprend bien, se sauvera)
•    Les potes savent pourquoi je dis ça
•    Sonnez hautbois, résonnez musettes, il est né l’enfant du divan
•    Il y a des secrets car les limites sont mouvantes
•    Je ne cache rien, je fais juste semblant d’oublier
•    La jouissance n’est pas dans le plaisir mais dans le désir, et le sensationnel est de lâcher ses freins
•    De la 1ère rencontre au mariage et au baptême, en passant par l’adultère et le divorce
•    Plus tu travailles moins t’as envie de travailler
•    La guerre est finie, le futur a gagné, le passé n’avait aucune chance
•    La conscience nous a fait phobique de la Liberté sexuelle encore plus de celle de la morale
•    Rien de mieux que le tabou du sexe pour tester la morale
•    Les secrets sur la sexualité indiquent le taux d’angoisse de toute la société
•    Vie intime qu’on garde privée, vie publique qu’on accepte de montrer, vie médiatique qu’on proclame
•    Les Karneia (en grec ancien τὰ Καρνεῖα) sont des festivités religieuses célébrées à Sparte en l'honneur d'Apollon Karneios, « protecteur du bétail ». Elles sont célébrées lors de la pleine lune du mois de karneion, soit généralement au mois d'août, et durent dix jours. Ce sont les plus importantes fêtes spartiates. Elles interrompent toutes les autres activités ; ainsi, ce sont les Karneia qui retardent l'arrivée des Spartiates à Marathon, ainsi que celle des renforts aux Thermopyles.
•    C’est la gitane maïs du cubi La Villageoise, la 33 Export en plastoc vert
•    Plic et Ploc : aventures en bd de deux enfants espiègles, José Parrondo en est l’auteur-illustrateur
•    Panade (1548 «soupe faite d'eau, de pain, et de beurre») : Bouillie, composée de pain, de beurre et d'eau longuement mitonnée, additionnée souvent de lait ou de crème et de jaune d'œuf. Préparation à base de pain, biscottes ou farine utilisée comme liaison, le plus souvent pour les farces. Personne molle, sans énergie. Chose mauvaise, de peu de valeur; femme de mauvaise tournure, laide, sale. Méli-mélo, mélange sans consistance. Être dans la misère, dans une situation inextricable. Qui est sans énergie, sans consistance (un gouvernement panade)

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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 12:54

 

couv photograffies-V2

 

couverture de Spray Yarps

 

 

Suite à la réussite du premier volume de "Photograffi(ti)es d’Expressions Murales : Pierres Philosophales", salué par les médias spécialisés comme généralistes (lire le communiqué de presse, voir le livre en eBook et sa page fb dédiée), voici la nouvelle mouture.

 

 

Plutôt qu’un simple album photograffique, nous présentons dans ce livre 123 trios de photos de graffs à message écrit (graff simple, pochoir, fresque peinte, etc.) de tous les pays et époques, organisés en thématiques : l’Art, l’Amour, les femmes, la philosophie, l’environnement, les drogues, le travail, l’argent, les médias, la politique/société, la Révolution !

La compilation de ces trois courtes phrases forme une philosophie graffique qui en dit plus que de longs discours !!!

Nous mettrons en ligne au fur et à mesure les pages de ce nouvel opus.

 

 

Pour son lancement et pour que vous fassiez plaisir à Noël, nous faisons une  OFFRE SPECIALE : 18 € le livre, frais de port offerts (au lieu de 18,81 € l'exemplaire + 2,50 € de frais de port).

 

 

couv photograffies- V1  +  couv photograffies-V2

 

Mieux : si vous voulez avoir les deux volumes, il ne vous en coûtera que 33 €

 

Pour commander, veuillez consulter "Soutenez-nous, commandez-nous"

 

 


 

En parallèle, un peu dans la même veine que les pierres philosophales puisqu’il s’agit d’une discussion de comptoir « on refait le monde » à base de dictons, expressions, proverbes populaires, aussi bien que de citations, dialogues de films et paroles de chansons, nous allons dès janvier commencer la rédaction de notre prochain bouquin, "Des Démons des Mots font Démo sur Dix Maux", dont vous pouvez déjà consulter la matière première numérisée dans nos Notations de Carnets de Conversations.

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 20:13

demon des mots

 

 

MERCI à Paperblog de mettre en avant nos Notations de Carnets de Conversations, matières premières pour notre prochain livre "Des Démons des Mots font Démo sur Dix Maux". Vous pouvez déjà lire son introduction dans Introduction aux expressions directes (Démons des Mots font Démo sur Dix Maux)

 

 

  • Un de ces voyages qui commence en fin de piste
  • L’esprit trépasse là où la télé passe trop
  • Elle a bu ? Non, elle nous en sort/fait une comme ça par jour, et encore là elle est soft !
  • Quand je regarde X, je vois qu’on a peu ou plus de point commun
  • Il est mignon, dommage qu’il soit idéaliste
  • Seule différence : l’argent a remplacé les idéologies
  • Dans mon jardin secret les mauvaises fleurs ont toutes fanées
  • Pas peureux comme crevette, courageux comme crabe
  • Je ne suis pas tombé dans les pommes, mais j’étais aux fraises, au raz des pâquerettes en m’évanouissant dans le fruit de la passion
  • Il est mort avant même d’avoir eu le temps de devenir un légume
  • Quand t’es blessé, faut évoluer et/ou se renforcer pour continuer tout en étant soulagé
  • Mort tu seras plus utile que tout ce que tu aurais pu faire de toute ton existence
  • On tue et meurt pour des bouts de terrain
  • Que puis-je faire face à cet enfer qu’est la loi ?
  • Nouvelle recrue indocile mais excellente
  • Aussi obstiné qu’incontrôlable
  • C’est tendre toute cette tendresse attendrissante
  • Là où X était une fin, Y sera un nouveau commencement
  • N’attache jamais mes ailes car je m’envolerais de toute façon mais pour sûr je ne reviendrai plus sur mon perchoir
  • C’est normal qu’il y ait toujours quelques petits défauts
  • Il en faut peu pour te faire changer
  • Je m’incline devant la logique implacable de tes arguments
  • Si ce soir on discute, demain on aura des regrets
  • Est guérisseur celui qui a pu/su surmonter son propre handicap
  • Tombe de Caïn : œil qui regarde, bouche qui punit
  • Qui me jugera ? Moi, le seul brave !
  • Grand poisson dans une petite mare aux connards
  • Plutôt que big-brother il préfère être little-sister
  • Combien de Libertés individuelles sommes-nous prêts à sacrifier pour la sécurité collective ?
  • Gloomy Sunday : Szomorú Vasárnap (Sombre Dimanche) est un morceau de jazz écrit en 1933 par l'artiste hongrois Rezső Seress, en mémoire des êtres défunts aimés du compositeur. Ce morceau, très triste et mélancolique, est devenu célèbre, principalement parce qu'il a été interdit dans la plupart des établissements de Budapest qui craignaient de pousser leurs clients au suicide. La version de Billie Holliday a été interdite par la BBC en 1941, sans doute à cause du contexte de la seconde guerre mondiale où les censeurs avaient tendance à interdire les chansons considérées comme déprimantes[2]. L'ironie du sort veut que le compositeur se soit lui-même suicidé en 1968. Le morceau est devenu une musique de fond courante durant la fin des années 1930 aux États-Unis, pendant la grande Dépression.
  • Ça a fini par arriver, t’as perdu la boule
  • La page blanche est le seul espace où tout est possible
  • Je suis plus malin que je n’en ai pas l’air
  • Voilà voilà, je suis là
  • Ce n’est qu’une petite part qui reste du moi d’autrefois
  • Étrange combinaison de curiosité sans perversion
  • C’est arrivé qu’une seule fois mais je me prends quand même pour un salaud
  • Dormir près de toi et te Respecter suffit à mon bonheur
  • Baisse le capot, on voit le bonheur
  • Calme toi ! J’ai jamais été aussi calme
  • Je l’ai traité de vieux con … alors qu’il n’est pas si vieux que ça
  • Après moi, le foutoir
  • Le temps n’est jamais aussi long que quand on l’observe s’écouler
  • Tes rares cheveux gris sont signe d’une sagesse exquise
  • Ça va, je connais la personne, le personnage
  • Qui ne la connaît pas ?
  • Toujours sur les gros coups à ce que je vois ma belle ?
  • Greluche pour une femme, alors que greluchon est l’amant de cœur d'une femme entretenue par un autre homme (« saint fabuleux du Berry qui guérit la stérilité », cf. le dicton aller au pèlerinage à Saint-Greluchon pour avoir des enfants frisés. Le nom de ce saint de fantaisie est issu d'un calembour obscène sur greluchon et grelot (proprement « clochette » d'où « testicules » p. anal. de forme ; cf. ses autres dénominations : saint Génitour, saint Phallien en Berry)
  • Pistolet à délice sorti du holster
  • Je transforme les ah ! en oh !!!
  • Tu es séduisante, je suis un homme, on a le droit d’avoir des pulsions
  • J’aime tout ce que je suis, elle-même à l’air de l’aimer encore plus
  • Eh beh, tu parles d’un bonheur
  • Y en a qui le disent avec des fleurs, d’autres avec des gants, moi je suis cash-direct
  • Femme surprise à moitié prise
  • C’est pas trop court/provoquant ? Tu es déjà trop habillé à mon goût !
  • Tu as des yeux à faire tourner le manège avant de faire la bête
  • Tu peux m’ôter un doute pénible ?
  • Réponse courte oui avec si, réponse longue non avec mais
  • Tu dois être très riche ? Non, juste très dépensier !
  • Un chef a bien le droit de se laisser faire lécher le cul
  • Elle est pas belle la vie avec une carte de police ?
  • Excuse-moi de te demander pardon ! On dit « je vous prie de bien vouloir m’excuser … » !!!
  • Les cafards ça s’écrase
  • Dans un match gagnant Vs perdant, l’important est d’être gagnant
  • Sois con en silence
  • l’amitié est une sorte d’amour
  • Te garder près de moi, un ami pour la vie au risque de franchir l’irréparable un jour et te perdre ? Te vivre en moi au risque que les sentiments se ternissent un jour  et te perdre là aussi ?
  • Je n’ai rien à dire, tout à écrire
  • Je doute de tout et de tout le monde
  • Prises écouteurs : guys and dolls
  • Le temps est pour certains une catastrophe ; pour d'autres, comme toi, il est une apothéose
  • chercher des réponses alors que je ne me questionne pas encore
  • les mots sur les maux
  • mes yeux se seront fermés sur tes frasques et auront coulé devant toi
  • il ne faut pas… mais bourrés comme nous serons… nous ne serons pas aptes à réfléchir…alors nous ferons l’amour maladroitement, ça sera fort (à défaut d’être beau, n’oublions pas que nous serons ivres !)
  • Au petit matin, outre le fait d’avoir la gueule de bois, j’aurai un sentiment de malaise certain… parce que nous deux c’est autre chose, que je n’ai jamais envisagé un « nous »
  • alors je partirai sans bruit,  je t’éviterai quelques jours ou plus encore… incapable de savoir où j’en suis… je te reverrai mais il n’y aura plus les danses et les ballades la nuit… parce que je n’aurai plus confiance en nous
  • Si je fais de toi mon amour je te regarderai avec des yeux qui brillent, des yeux qui te veulent et des yeux qui te tueront … parfois
  • Je déploierai une énergie folle à faire en sorte que tes chutes soient les moins brutales possibles, même s’il faut morfler un peu au passage… çà sera le prix à payer pour ne pas te voir te perdre quand tu es tout en bas.
  • Tu ne sauras pas tout de moi, je te laisserai des morceaux du puzzle… il te restera la lourde tâche de les trouver et d’y mettre du sens… et à la longue un jour je te reprocherai de ne pas bien me connaître (en vraie fille que je suis)…
  • Tu auras le pouvoir de me briser d’un mot ou d’un regard.
  • Je t’aimerai au point de me laisser apprivoiser le cœur et le corps, m’abandonner à toi.
  • Je crèverai par tes absences tout en disant que je veux être libre, que je préfère la torture du manque plutôt que la lassitude de la routine, parce que nous valons mieux qu’une liste de courses en commun sur la porte du frigo.
  • Et si un jour nous nous perdons dans le quotidien, j’en oublierai pourquoi je suis là avec toi, je finirai par haïr tout ce que j’ai aimé chez toi, parce qu’il me sera plus facile d’en passer par la colère que d’admettre que je me suis perdue en chemin… Tu tomberas dans mes pièges et nous roulerons dans une vague de mépris… sans trop boire de tasses… je l’espère.
  • je ne crois pas une seconde en l’amitié garçon-fille, du moins je n’y crois plus… ou disons plutôt, pas l’amitié telle que je la conçois
  • Au mieux, faire parti de la bande de potes qui fait marrer, avec un simulacre de bons sentiments… avec beaucoup de « rien à secouer » dedans…parce que les potes çà sert à çà, s’attacher sans aimer.
  • je rêve de l’alter-égo qui me ferait croire en tout ce que j’ai toujours douté
  • Vivre c’est se mettre en danger, prendre le risque de se faire mal, de perdre… se perdre … la vie est courte… à chacun de choisir s’il faut la vivre ou la subir
  • il ne faut jamais regretter ses choix, si "mauvais" eussent-ils été
  • si on savait tout ce que l'avenir nous réserve on ne ferait plus grand-chose
  • y a rien de plus chiant que de suivre le cours du destin
  • Une faconde : grande facilité de parole
  • l’eau n’était pas bien profonde mais j’ai bu la tasse quand même
  • la liste des choses que je connais mal tiendrait sur un timbre
  • la curiosité est souvent plus forte que la prudence, et des fois tant mieux
  • Faut demander un tonneau pour avoir une bouteille
  • Gratter le passé pour y peindre l’avenir
  • Tout reconstruire à partir d’une base saine
  • « Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas. Et il l'a fait » (Pagnol Vs Twain)
  • ça tu le sais après, ça peut être le nirvana comme la grosse cata
  • c'est pas tout ou rien, ça peut être moyen moins
  • je m’en tâte les tétons
  • morigéner : Former les mœurs de quelqu'un, instruire quelqu'un aux bonnes mœurs
  • trouve la star du X en toi
  • sans un minimum d’hypocrisie on ne pourrait pas se fréquenter
  • je te rembourse par mes bourses, en liquide, cash-direct
  • si je t’envoie sur les roses, ensuite j’en sucerais les épines une par une.
  • tu me suis ? Je te précède oui !
  • ne m’oblige pas à réduire les moyens de tes ambitions, ce serait dommage pour tous les deux
  • faire de toi ceci, en plus de moi, est une bonne raison pour plus de nous
  • tu crois qu’elle va me pardonner ? T’en as vraiment envie ???
  • je me sens tout étourdi, c’est la chaleur de sa moiteur/son humidificateur
  • j’ai souvent pensé à toi, mais un jour je t’oublierai pour recommencer à vivre
  • T’es méchant, tu n’aimes personne ? Comme qui ??? Ça c’est à toi de trouver !
  • Même si t’es mort de faim, n’attends rien et c’est là où tu seras servi
  • Tu me dois au moins la fureur de jouir
  • De deux choses l’une : soit nous ruminons notre échec, soit nous essayons de le comprendre, voire de clôturer l’affaire
  • C’est même pas de baise dont je te parle, ça je peux me débrouiller toute seule, mais d’Amour et sentiments
  • Tu regardes mais ne vois rien
  • Au son de sa voix … ouahou
  • Tu es plein de surprises ! Encore plus que ce que tu crois
  • Comment pensais-tu que j’étais ? Différent !
  • Je lui ai dit que c’était non ! Non, dis-lui que c’est oui !!!
  • J’avais vraiment besoin d’une bonne petite catin
  • Émouvante et éprouvante
  • Je préfère plus rien maintenant que trop peu après
  • Mon slip ne parle pas, il hurle
  • Je veux un grand lit double, le plein du minibar et un « Do not disturb »
  • D’abord on fait l’amour, ensuite on voit si on a bien fait … de le faire
  • J’ai une flasque dans ma poche ! C’est ça ? Non, mais continue de dévisser !!!
  • Tu te faisais passer pour meilleur que tu n’étais, t’es encore pire que ce que je n’imaginais même pas
  • Ne dis pas des choses qui seraient définitives
  • Je hais l’amour des autres couples
  • Il faut que je casse ce mariage tant que je suis encore jeune et beau
  • Je pleurais intérieurement tellement j’avais mal
  • "grâce" à toi, je me suis surpris à devenir égoïste
  • Je ne suis pas que ça, même si je suis beaucoup ça
  • Pas fâché, juste profondément déçu
  • Couple improbable mais conjoints complémentaires
  • Partagé entre crainte et curiosité, je pointe quand même le bout de mon nez
  • Dans sa quête de pouvoir, sur le piédestal de sa tour d’ivoire, il a perdu pied avec la réalité
  • Ma tâche est dure et pénible mais je dois l’exécuter
  • Toujours prêt à tout mais à jamais bon à rien
  • Qui ose, gagne
  • Je sais ce qui m’attend et pourtant je vais de l’avant
  • Les grands rêves s’atteignent par petits pas
  • Tu peux faire ça pour lui, c’est ton ami
  • Je préfère mourir que haïr
  • Devenir adulte c’est éprouver la solitude, notamment dans ses choix
  • Les cicatrices nous rappellent que le passé n’a pas été que "rêvé"
  • Ce trou, c’est là où je t’ai conçu
  • Jusqu’à la fin, si y en a une
  • Comme tous les joueurs imprudents, je sais quand arrêter : jamais
  • Foucade : Impulsion vive et passagère, comportement capricieux. Synon. caprice, coup-de-tête, lubie, toquade
  • Fanfaron : Qui affecte la bravoure; qui cherche à s'imposer par le verbe ou l'attitude en exagérant son mérite et son courage. (Quasi-)synon. bravache, hâbleur, vaniteux.
  • Juste avant de connaître le bonheur, une petite voix m’a dit que je ne le méritais pas, une autre voix m’a dit que c’était bien vrai
  • La vie change souvent de musique/mélodie/tempo, mais faut toujours continuer de danser/chanter
  • Les meilleurs conseils d’éducation viennent des poivrots sans enfant
  • Mon innocence est morte avec/dans les douleurs de la vie
  • Il n’a jamais franchi la ligne jaune même s’il a souvent attiré l’attention
  • Les nonnes ont les voies aussi impénétrables que celles du seigneur
  • Le hasard est pour les gens qui se croisent, nous on s’est rencontrés
  • Cette fille je l’aime, je ne te la prends pas, c’est elle qui te quitte
  • T’es peut-être pas celle/celui qu’il me faut, mais t’es celle/celui que j’attendais
  • C’est fou ce qu’on peut oublier quand on est amoureux
  • Pour te voir sourire, je te suivrais en enfer
  • Elle m’avait sauvé, mais je n’ai pas su la protéger de moi-même
  • Je vous salue bien las
  • La fleur au fusil et la capote au couteau
  • T’es à l’abri des tentations et moi des emmerdes
  • Je ne suis pas homo, juste bi yourself comme pas tout le monde
  • Ce n’est pas que les milieux de la haute qui sont les plus fermés, ceux de la hot aussi
  • Si belle, si fragile
  • Elle a des courbes aussi généreuses que celle de Lombard street à San Francisco
  • L’orgueil masculin plaide la mauvaise foi
  • Je vais entrer dans le guiness book des records comme l’homme le plus heureux du monde
  • Dans la vie il y a des choses qui méritent un plan de secours, mais l’amour n’en fait pas partie
  • On est sans censure et surtout on a des choses à dire
  • Le silence est le bruit que fait le temps en passant
  • L’ennui est le sang qui s’écoule de la blessure du temps
  • Quitter la pièce enfumée : suicide comme l’appelait les stoïciens
  • On vise le livre des records, pas la rubrique nécro
  • Le jour où t’as plus peur, tu meurs
  • Le seul intérêt de l’enfer c’est d’y retrouver ses amis
  • Il faut le vivre pour pouvoir raconter et ne rien trahir/travestir
  • Les pulsions humaines sont le plaisir et le désir, sans oublier la connaissance
  • Ressentir la dépendance avant l’effet
  • Un plan médian sur les médiums, les médias et les messages
  • Souvent on se rend compte trop tard de ses limites
  • Il y a plein de dangers dans les milieux extrêmes
  • On ne peut prendre un départ sans risque, mais on peut les calculer à la louche
  • La puissance du rêve m’a confirmé la dangerosité de la réalité
  • Nous vivons comme un volcan : quand nous respirons nous crachons du feu
  • On n’emmène pas des saucisses quand on va à Strasbourg
  • Ne rêve pas mon petit chat
  • Je suis piètre avocat de mes propres intérêts
  • Plus dangereux qu’utile
  • Faut pas plaisanter avec l’humour, des gens en sont morts … de rire
  • Voici que s’ouvre le grand livre du temps, avec ses pages blanches à noircir d’expériences de la vie
  • L’impossible s’est produit, et même reproduit
  • Dysnomie est une fille d'Éris (déesse de la Discorde) et la personnification de l'Anarchie. Elle est généralement accompagnée d'Adicie (l'Injustice), d'Até (la Fatalité) et d'Hybris (la Démesure). Son opposée est Eunomie (l'Ordre civil).
  • Si tu veux accéder au château, il faut franchir les douves, à pied par le pont-levis ou à la nage
  • Son carburant est nos rêves, son pouvoir est notre imagination
  • Espion : corbeau, pigeon et hirondelle (belle espionne)
  • Discipliné comme un militaire, incorruptible comme un banquier
  • On ne connaît que ce qui échoue
  • Je ne pouvais pas ne pas l’interdire, mais son rôle était du coup de désobéir afin de servir mon intérêt caché
  • Tant attendu par les uns, tant redouté par les autres
  • Branquignol (Dérivé de branque, « individu qui se laisse berner », sans doute de l'argot piémontais branci, « âne », avec suffixe plaisant -ignol ou selon Pierre Guiraud, croisement avec guignol) : Personne excentrique, qui se met dans des situations tragi-comiques ou se plait à les provoquer ; Homme qui n'inspire pas confiance, soit par manque de sérieux, soit par manque d'intelligence.
  • Punk =  souffre douleur en prison
  • Dad is dead
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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 20:10

j-aime-ce-monde-ou-nous-venons-pour-mourir.jpg

 

En ce jour de Toussaint, nous voulions autant rendre hommage aux morts, disparus trop tôt, que dédramatiser cette partie de la vie.

 

 

dead-like-me.jpg

 

 

 

 

En plus des citations/expressions sur ce thème, nous ne saurions que trop vous conseiller la très bonne série "Dead like me" (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Dead_Like_Me) et le film.

 

 

 

 

 

 

  • C’est la peur de la Mort qui mène les humains, c’est la source de tous nos malheurs
  • Domine ta peur et tu seras plus fort que la Mort
  • Dans le tourbillon de la chasse d’eau on finit tous par passer par le même trou.
  • Accepter sa Mort c’est s’en détacher
  • Partout la mort rode, guettant la moindre défaillance
  • Chaque seconde nous rapproche à grand coup de tic-tac de la dernière heure, le tout rythmé au tempo du pendule balancier de notre horloge vitale
  • Tout deuil est un boulet au bout d’une chaîne
  • La vie n’est qu’un jour, la mort qu’une nuit
  • ça coute cher de mourir
  • La vie est un tango (Le tango est une danse de bal qui se danse à deux. C'est une danse d'improvisation, au sens où les pas ne sont pas prévus à l'avance pour être répétés séquentiellement, mais où les deux partenaires marchent ensembles vers une direction impromptue à chaque instant. Un partenaire (traditionnellement l'homme) guide l'autre, qui suit en laissant aller naturellement son poids dans la marche, sans chercher à deviner les pas) et la mort un paso doble (Le Paso doble est l'une des danses les plus simples à apprendre au départ. Le pas de base est en effet un simple pas de marche (le danseur part du pied droit, la danseuse pied gauche en arrière). La tenue du couple est classique, mais il faut ensuite, pour adopter le style typique du paso, se souvenir que le danseur y joue le rôle du torero et la femme, celui de sa cape).
  • Vu le nombre de morts, ce serait à eux de nous offrir des fleurs
  • Comme il y a trop de monde sur Terre, on devrait avoir une médaille quand on meurt
  • Je préfère ne pas connaître la date de ma mort, celle de ma naissance me fout déjà assez le cafard
  • Si tu meurs électrocuté, tu revois toute ta vie défilé … en dessin animé
  • Ce qui serait bien c’est que quand on incinère les vieux ça serve à réchauffer les prématurés dans leur couveuse
  • Incinérer un noyé ça ne doit pas être facile ! Incinérer c’est trop, faudrait juste faire bouillir !!!
  • Qui prévient les vers de terre qu’il y a un nouveau cadavre ?
  • Poussière tu étais, poussière tu retourneras ; pour une femme de ménage, tu parles d’un avenir
  • Faut accompagner le mort, car il ne sait pas où est le cimetière et ne saurait y aller tout seul
  • À chaque anniversaire on se rapproche un peu plus de la mort !
  • Les gens que tu couches sur ton testament ne dorment que d’un œil. Armand Farrachi
  • Rien n’est éternel, même pas la pierre : massive montagne fixe deviendra minuscule grain de sable mobile par le simple fait du vent invisible, ce n’est qu’une question de temps, le seul élément immortel/immuable
  • L’immortalité serait une malédiction : à vie éternelle tourments sempiternels
  • Tutoyer la mort et la douleur pour se prouver qu’on est vivant et qu’on ressent
  • La mort des autres est une leçon de vie pour soi
  • Un arbre frappé par la foudre est déjà mort mais ne le sait pas encore
  • Il a vécu en homme brillant, il est mort en homme riant
  • Quand on se bat contre la Mort, chaque victoire compte, surtout contre ses propres doutes
  • J’ai décidé de ne pas dormir cette nuit... car chaque nuit peut être la dernière
  • La Mort est difficile à raconter et ses causes difficiles à comprendre
  • Pour mourir heureux, mourons cachés
  • L'humain meurt chaque jour de 24 heures
  • J’étais mieux mort que résurrecté
  • Dans la Mort, toutes les questions de la vie trouvent leur réponse
  • La Mort transforme la vie en destin
  • Ce que la chenille appelle la mort, le papillon l’appelle renaissance.
  • La Mort ne nous facilite pas la vie, elle qui est la fin de notre entité biologique
  • Il faut atte(i)ndre la Mort pour se sentir vivant
  • Je ne veux pas être piqué comme un vieux chien chez le véto
  • On enterre les regrets et les secrets avec le corps
  • Il est mort avant même d’avoir eu le temps de devenir un légume (les Simpson)
  • La Mort est le seul chemin/guide qui mène à la (Re)Naissance
  • Quand tu te réveilleras, tu seras mort
  • La mort n’est pas si grave même si le final est fatal, faut juste se préparer au choc du départ
  • Plus peur de la souffrance que de la Mort
  • Jamais senti aussi vivant qu’en tutoyant la Mort
  • Ma dernière volonté est de ne pas ressusciter
  • Le vieillissement est une maladie mortelle à 100%
  • Toute ma vie j’ai attendu ce moment où on ne pense plus à rien
  • Nous sommes tous des condamnés à mort en sursis
  • Notre Mère la Mort t’as donné la vie en sa caverne, puis elle te rappelle en son sein pour refinir dans le Néant bouillonnant de son ventre
  • Au bout du chemin y a toujours la Mort : on le sait mais on met la tête dans le sable
  • Pas abroger la vie (supprimer radicalement) mais abréger la mort (raccourcir)
  • Le lâche meurt à plusieurs reprises avant de rendre l’âme à gauche, le juste râle et expire dans un unique dernier souffle de vie
  • C’est ma vie qui m’a appris le but de toute vie, à savoir de finir
  • Elle est morte, à vie
  • le croque-mort est un service après-vie
  • La naissance n’est que le début de la Mort
  • Un nouveau-né est un futur mort (Voltaire)
  • Un nouveau-né est un futur-décédé, un mort vivant quelques temps
  • Berceau, Boutons, Bordel, Boulot, Borniol (Henri de Borniol, également connue sous le nom de Maison Borniol, est une entreprise de pompes funèbres française. Cette entreprise a organisé plusieurs funérailles de personnages célèbres. Son nom est à l'origine de plusieurs expressions argotiques comme « va te faire voir chez Borniol » pour « va au diable » ou « l'antichambre de Borniol » pour parler d'une mort proche).
  • On découvrira peut-être le sens de notre vie à notre mort
  • Le jeu comme la jouissance sont des moyens de vaincre la mort
  • il mourra un jour de vieillesse ou de maladie à force d'accumuler les anniversaires
  • La Mort est un chemin tortueux vers le Néant, sans savoir ce qu’il y a derrière
  • La cérémonie funèbre c’est mettre au centre de la vie des personnes qui n’en font plus partie
  • Le cimetière est un jardin où l'on vient apporter des fleurs une fois par an
  • Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés. Georges Clemenceau
  • "Lorsque tu vins au monde, tout le monde était content et toi tu pleurais. Vis de telle sorte que lorsque tu mourras, tous pleureront et tu seras heureux."
  • Philosopher c’est apprendre à vivre pleinement pour mourir tranquillement
  • Enterré comme un chien, qui déterre les os
  • La Mort n’est pas la fin du monde : on est né et préparé à ça
  • Par rapport aux morts d’antan/dans (le) temps, nous sommes des survivants du contemporain
  • Plutôt que de retenir le mort, le rite funéraire est là pour couper les liens avec le mort et réarranger les rapports entre les vivants
  • On naît dans la douleur de la mère, et on meurt dans la douleur de ceux qui nous aiment
  • Les souvenirs s’estompent, sa réputation s’améliore
  • La vie m’a appris la vie autant que la Mort m’apprendra la mort
  • Souvent la Vérité sort juste avant la mort
  • On ne dit jamais la vérité quand les gens meurent ! Ce n’est pas le moment !! Si, ils n’en souffriront plus
  • il faut du vieux marc de café brûlé contre l’odeur de la Mort
  • sexe + Mort = aphrodisiaque
  • La Mort viendra aujourd’hui, demain, ou un autre jour alors savoure
  • La mort est un excellent nouveau départ pour une nouvelle vie
  • Le vivant est éphémère, le mort dure un peu plus longtemps dans le temps
  • Ni le soleil ni la Mort ne peuvent se regarder en face
  • Les légendes n'acceptent pas la banalité. Même dans la mort. Surtout dans la mort.
  • " Notre vrai tombeau n'est pas dans la terre, mais dans le cœur des hommes. " Proverbe Persan
  • Vie ordinaire, mort extra-
  • Comment savoir de la Mort quand c’est/cette inconnu(e) ?
  • Il va bien ? Euh oui, enfin non ! Il est malade … et même mort ! Mes condoléances !! Oh ça va, il croyait en une vie éternelle donc là il sera servi
  • La vie c’est la mort à reculons
  • La Mort débarrasse le grand buffet de la vie, vaut mieux donc s’y être régalé à s’en éclater la panse
  • "et si la mort n'était pas peine et souffrance, mais la délivrance et la récompense du sage ?"
  • La mort met sur la voie de l’extase de la vie recommencée
  • Je suis mort à X ans, depuis je survis dans les limbes purgatoires
  • Je ne veux pas qu’on vote ma mort
  • La vie fonce comme une flèche vers la cible, le centre noir vers tout converge et rapporte un max, la Mort
  • Plénitude de la vie avant finitude de la Mort
  • La Mort c’est se préparer toute sa vie à ce qu’on ne vivra qu’une seule fois
  • Quand nous sommes vivants nous luttons contre la mort, après nous luttons contre l’oubli.
  • Quand on veut construire l’avenir, l’idée de la mort est insupportable.
  • La vie c’est la mort en sursis.
  • "L'affirmation de la vie ne va pas sans la pensée de la mort, sans l'attention la plus vigilante, responsable, voire assiégée, obsédée de cette fin qui n'arrive pas à arriver.
  • Les morts galopent vite
  • On meurt quand la haine a fini d’accomplir son œuvre
  • La vie ne vaut la peine d’être vécue que si elle ne l’est pas comme un rêve dont la mort serait le réveil
  • Malgré les prédateurs, l’hippopotame curieux va toucher le mort, idem avec le cadavre d’une autre espèce
  • Mon personnage s’est fait tuer, bah, ainsi va la vie, même en numérique
  • On nait plusieurs fois mais on ne meurt qu'une fois. Il faut le savoir dès la deuxième naissance.
  • L'humain meurt chaque jour de 24 heures
  • Nous mourrons un peu à chaque instant, à chaque moment de la vie, à chaque respiration
  • Les détails varient selon la vie, mais en gros à la fin du film tu meurs
  • Un jour tu ris, un jour tu pleures, Un jour tu vis, un jour tu meurs..."
  • La mort n’est ni une malchance, ni un hasard, ni une coïncidence, mais il n’y a pas d’échappatoire.
  • On sait qu’on va mourir mais on n’y croit pas : ça n’arrive qu’aux autres.
  • Depuis que je sais que je ne suis ni le premier ni ne serai le dernier, je n’ai plus peur de la mort (Serrault).
  • si la vie est un banquet, la mort en est le dessert
  • c'qui est con c'est que j'ai toujours envie de manger le dessert avant le plat de résistance... mais la vie à l'envers... c'est l'envers du décor de la mort ?
  • les cimetières sont remplient d'indispensables
  • vivre dans la peur de la mort, c'est mourir de nombreuses fois.
  • celui qui croit mourir plusieurs fois se sent au final vivre
  • Si les vivants vivent en paix, les morts reposent en Révolte.
  • La mort est un long sommeil sans rêve.
  • Mort, le corps appartient aux vivants et nourrit le vivant, la Nature
  • Fête d’enterrement : santé pour ceux qui restent, sachant que les meilleurs partent les premiers
  • Le deuil est une perte de temps ! Si on fait ça, c’est plus pour les gosses !!!
  • Je préférerais mourir que d’aller à l’hospice ! Tu feras les deux !!!
  • chaque seconde de vie en plus est une seconde de plus à mourir
  • On tarde à grandir, on ne tarde pas à mourir.
  • "Personne n'est trop jeune pour mourir puisqu'il s'agit du passage d'une réalité à une autre"(Jésus Christ)
  • Je ne peux pas mourir, je n’ai pas le temps et j’ai encore tellement à faire sur Terre
  • Bon courage ! Ça va m’empêcher de crever ?? Non !!!
  • Médecins te disent que tu vas crever puis vont jouer au golf
  • J’aime tellement la vie que j’arrive pas à mourir
  • La mort est un phénomène répandu qui, s’il n’est pas grave, ne grandi personne et n’efface pas les fautes/tâches
  • Ô raison funeste, funèbre
  • Pour la naissance comme pour la mort, on se bat pour aller dans un endroit (chaud/froid, lumière/ténèbres) très différent de ce qu’on pensait trouver
  • Born to be alive ? La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible (Woody Allen)

 

  • Comportement ordalique : (du vieil anglais ordal (qui a donné ordeal, l’épreuve, et du germanique urthel, « jugement » qui donne « jugement de Dieu ») est un comportement à haut risque, motivé par un besoin de jouer avec la mort ou de revitaliser son existence[1]. En psychologie, on parle d’une « appétence traumatophilique », qui est un fort désir de valider son existence en la risquant, comme dans le cas des sports dits « de l’extrême » ou des conduites à risque. On parle également en psychologie d’« ordalisme », néologisme ayant le même sens que comportement ordalique ou encore conduite à risque. L’ordalisme évoque Dionysos et son culte orgiaque. C’est vivre à cent à l’heure, jouer à la roulette russe avec sa vie. Ce qui compte, c’est la recherche de l’intensité de la vie, du plaisir sans frein et non une vie économe qui dure longtemps, ascétique et apollinienne.
  • La seule façon de se prouver qu’on est vivant est de tutoyer la Mort
  • Pourquoi avoir peur, au pire je meurs donc il n’y aura plus de douleur/malheur

 

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 18:24
  • Pas tout changer, mais améliorer ce qu’on fait bien et corriger ce qu’on fait mal
  • Est-on Libre de son addiction ?
  • Quand je ne sais pas quoi penser, je préfère ne pas y penser
  • La St Valentin est un b(a)ise-ness fructueux
  • J’ai déjà cru au Père Noël et à la Fée des dents, mais t’aimer autant jamais
  • Le divorce ? Je ne peux pas me le permettre et c’est trop compliqué ! Ah … c’est beau l’Amour
  • J’y croirais quand tu penseras à moi
  • Passons vite du monologue interne au dialogue externe
  • Je lui ai menti car c’était le plus simple pour faire ce que j’avais envie de faire
  • Le divorce n’a pas le joli visage que j’avais envisagé
  • Je ne l’espérais pas mais je l’attendais quand même
  • J’étais son pays conquis puis elle est partie, elle a envahie un autre country
  • Les lâches qui trahissent la Cause sont nos ennemis
  • Une guerre ne se gagne pas en défilant : les mots ne suffisent plus, place à l’action et aux morts
  • Les combats désespérés ne servent et ne mènent à rien
  • Arrogance petite bourgeoise maquillée en discours Révolutionnaire
  • C’est ça ton but ?, briller pour la Cause pour être applaudi ???
  • Avancer la reconnaissance de la gloire silencieuse
  • Courageux et intelligent, mais manque discipline et prudence
  • Ce n’est plus de l’indignation mais de la Révolution
  • Je croyais que X nous sauverait mais ça n’a fait qu’empirer
  • Je ne peux plus agir, mais au moins soutenir la Cause
  • T’as de quoi être flatté vu comme il est avare de compliment
  • Je ne suis pas en guerre, je n’ai donc d’ordre à recevoir de personne
  • C’est injustifiable mais je l’explique quand même
  • Je préfère l’échec à la honte
  • Je fais mes choix selon ce que je sais, pas ce que j’ignore
  • Fantôme : celui qui a été/existé, mais n’est plus que l’ombre de lui-même
  • Je suis nul par manque de confiance
  • Même dans un cercueil je serai moins zombi qu’ici
  • Le malheur fait un malheur partout ailleurs qu’en ma demeure
  • Je ne sais pas, c’est bien pour ça que je cherche à comprendre
  • Je suis mort à X ans / ma vie s’est arrêtée il y a Y années
  • Je fais quoi ? Comme si de rien n’était !
  • D’habitude c’est moi qui pose les questions
  • Me mettre à table et trinquer avec les flics c’est pas mon truc
  • J’ai appelé les flics, ils envoient des types
  • Je n’aime pas la publicité inutile, mais je ne suis pas indifférent à l’argent
  • Il est maîtrisé et méprisé
  • Je ne te l’ai pas dit car si tu avais su tu aurais voulu le faire
  • Éteignons la lumière, allumons les étoiles
  • J’ai tiré un trait épais sur mon passé, tu ferais bien de faire pareil
  • On s’y fait à la longue ! Ah non, pas vraiment, ou alors parle que pour toi !!!
  • Talisman : diamant qui se porte au doigt gauche, comme l’anneau de mariage
  • Qu’elle parte vite, et loin … et surtout revienne tard, c’est le meilleur remède contre cette peste brune
  • Je n’engage pas les gens à faire ça, mais à au moins faire quelque chose
  • Agir en trouvant les moyens de ne pas se faire p(r)endre
  • Desseinateur
  • Les mots ont toujours tué
  • Les coupables rassurent la bonne société de son innocence (par comparaison)
  • Rien ne t’oblige … surtout pas moi
  • Marié, une liaison : aucune histoire
  • Je te dérange ? Euh, oui un peu quand même !
  • Ne fais pas semblant de t’intéresser, c’est plus la peine
  • J’avais un doute, autant dire que je me suis trompé
  • T’es sûr de toi ? Presque ! C’est rassurant !!!
  • L’amour elle s’en balance, elle a déjà trop penché
  • T’es amoureux ? Ca je sais pas, mais je me rappelle que j’étais bourré quand je l’ai bourrée
  • T’as pas de temps à perdre ?, ça tombe bien moi non plus alors allons-y franco, brut de décoffrage
  • Si elle a un peu d’humour elle le prendra bien, sinon elle ne le prendra pas du tout
  • Tu as tout compris … pour une fois
  • Il n’avait pas pu et maintenant ne peux plus rien faire
  • Pas la meilleure, juste la moins pire
  • Candaulisme : ma femme est tellement parfaite que pour en saisir toute la portée il faut l’essayer
  • Moins de bla-bla, plus de crac-crac
  • Tu ne le regretteras pas ! Je le regrette déjà !!!
  • Je ne sais même pas ce que c’est alors que je vais dire oui
  • Ça a bien changé, mais pas spécialement en bien
  • J’ai répondu à tout avec franchise et honnêteté, je ne répondrai plus à rien
  • Ignore tout ce qui t’entoure et n’écoute que mes critiques
  • Plus on désire et plus ça devient réel ! J’aurais aimé de dire oui mais non, ce n’est pas le cas !!!
  • T’as un cul comme un Courbet
  • Je me suis intéressé aux postérieurs postérieurement à mon dépucelage
  • Oh toi mon beau souci ! Euh, oui, et toi, ma belle chérie !!!
  • Jeune mâle efflanqué (maigre des flancs)
  • Son regard s’est éteint quand elle a compris ce qu’il se passait
  • Oui c’est moi, enfin presque
  • Avec un peu de chance … Je ne crois guère plus en la chance depuis qu’elle a tourné et m’a abandonné à mon triste sort/sir
  • Comment tu te sens ? Je suis debout, c’est l’essentiel !
  • Être faible, moralement et dans les bras
  • Nous sommes tous des condamnés à mort en sursis
  • Mon personnage est plus grand que nature
  • Ne pas se contenter de survivre, encore moins de sous-vivre (au risque de chavirer)
  • Pas d’ennemi connu car pas d’ami connu
  • Ce n’est pas tant que je n’ai rien à perdre que je m’en fiche de perdre
  • C’est leur sort … et il s’accomplit
  • L’état doit aider, pas que contrôler ! Il doit aussi prévenir et pas que guérir !!!
  • Y a eu une couille dans le pâté et on assiste à son effet retour
  • Words on fire : mots en feu
  • Je peux être ton meilleur ami comme ton pire ennemi, tout dépend de toi
  • Comme des brebis égarées au milieu de loups affamés
  • Dans un tort partagé, c’est pas glorieux d’avoir raison avec les autres
  • L’âme est une part divine volée par le serpent, qui mène à la Chute
  • Planter puis allumer la bougie sur le gâteau
  • Camarilla (empr. à l'esp. camarilla, dér. de camara pris spéc. au sens de « pièce du palais royal où avaient accès les gentilshommes, les ambassadeurs et les familiers ») : Entourage d'un souverain exerçant sur celui-ci une influence occulte et souvent néfaste. Le règne des camarillas commença quand celui des cortès [en Espagne et au Portugal, assemblée législative] finit (CHATEAUBRIAND, Mémoires d'Outre-Tombe). Groupe d'individus agissant sur le pouvoir ou l'autorité par l'intrigue et la cabale (intrigue secrète ourdie contre quelqu'un, pour l'atteindre dans sa réputation, ses actions ou ses œuvres)
  • T’inquiète pas, y a rien … ou pas de quoi … s’inquiéter
  • Soyons adultes : faisons des folies responsables … même si coupables
  • Sans compassion, j’ai moins de haine envers elle que pour X
  • Le contact humain, l’ultime frontière
  • Je ne suis pas amoureux comme l’amoureuse qui me poursuit de ses acides nuitées
  • Faut être hors-la-loi pour changer la loi
  • Si beaucoup échouent, on a plus de chance de réussir
  • C’est en vivant en marge de la société que je l’ai comprise
  • L’éthique est le problème de ceux qui ne sont pas concernés
  • Sans alcool je me rappelle au combien je te hais
  • L’un dans l’autre on est rien, les deux ensembles tout nous est possible
  • Comme le dit la boussole à l’aimant : « je suis désorientée, j’ai perdu le Nord, je suis complètement à l’Ouest, sachant qu’à l’Est y a rien de nouveau (du moins jusqu’à demain matin, au lever du soleil) »
  • Soyez heureux, faites cesser le feu
  • Tu ne vis que de ressentiments, comme la veuve d’un ancien combattant
  • Russ Meyer, le roi des nichons, connu pour ses réalisations de films de sexploitation (généralement projetés dans des cinémas de films d'exploitation, les précurseurs des cinémas des années 1970 et 1980 qui proposèrent un contenu pornographique. Les nudies (films mettant en scène des corps nus dans le but d'exciter le voyeurisme du spectateur) ont eu un certain succès
  • Quand j’entends le loup, je lâche un renard et une poulette
  • Même si je vais en prison, j’aurais une meilleure bouffe et plus de tendresse et d’attention
  • Je ne te demande rien, je ne désire rien : soyons Amis
  • J’ai peur, ne m’en dis pas plus, rassure-moi plutôt
  • Dis-moi d’abord ce que tu es et ensuite qui tu es
  • Sein : organe phallique qui pointe chez la femme
  • Je te rends ta Liberté, chérie ! J’ai jamais cherché à la reprendre !! En parole non, mais en changeant ta personnalité ainsi que ton approche de la vie (à deux en plus), en renonçant à tout ce qui m’avait bouleversifié en toi, si !!!
  • Si on avait pas été engagés, tu voudrais toujours ma main ?
  • Le moins de travail et de consommation possible pour le plus d’amusement
  • Le don n’est pas plus facile à porter que la dette
  • Ce n'est pas parce que l'ophtalmo vous soigne à l'œil que c'est gratuit
  • L’ignorance et la misère sont le fruit de la civilisation
  • Indifférence réfléchie à la vie et à la Mort
  • Nous sommes tous venus au monde avec des projets et des objectifs qui nous dépassent
  • La vie est une suite d’ennuis et de rififis (dispute violente, bagarre : formé sur rif « zone de combats, front ») qui ne se finissent qu’à sa nuit
  • La nuit fout les chocottes, le jour est top
  • Les murs qui protègent du danger isolent du savoir
  • Je doute de mes sens car la moindre illusion peut les affecter
  • Je tire le boulet de ma vie avec la chaîne d’existence dont j’ai forgé chaque maillon
  • Ni trêve ni repos
  • Tu crains trop la vie et le monde, qui à ta décharge ne te veulent pas que du bien
  • Tu ne vis tout que par intérêt
  • Je suis la principale victime de cet être mâle-faisant qu’est moi-même
  • Ça suffit maintenant, j’aimerais bien me réveiller là !
  • Pourquoi être joyeux/triste si pauvre/riche tu es ?
  • "engraisser" c’est amener les paresseux à s’en réjouir de l’être
  • T’es le Clark Kent de Superman : là où y a de l’action on est sûr de pas te trouver
  • Savoir ce n'est pas comprendre, et c'est de là que nait toute la réflexion !
  • Tu le souhaiterais ? Je souhaiterais surtout ne pas en être sûr !
  • Tu en est certain ? Je souhaiterais en être incertain au contraire !
  • Notre Mère la Mort t’as donné la vie en sa caverne, puis elle te rappelle en son sein pour refinir dans le Néant bouillonnant de son ventre
  • Je n’ai de cesse que le temps fasse son œuvre
  • Je viens de m'inscrire à un concours de circonstances
  • Si tu entends que je suis levé de bon matin, c’est sûrement que je ne me suis pas couché
  • Caron [chez les Grecs, Charon ou Caron, le « nocher des Enfers » (le nocher est celui qui conduit une embarcation), était le fils d'Érèbe (les Ténèbres) et de Nyx (la Nuit). Il avait pour rôle de faire passer sur sa barque, moyennant un péage, les ombres errantes des défunts à travers le fleuve Achéron (ou selon d'autres sources, le Styx) vers le séjour des morts] : venait finir le travail à la massue quand un gladiateur agonisait et n’était pas correctement mis à mort par son adversaire
  • À fleuret moucheté
  • La musique donne une âme à nos cœurs, des ailes à la pensée, un essor à l'imagination (Platon)
  • Printemps est une période où on s’épuise pour nourrir la génération suivante
  • Elle ovule donc y a pas une goutte à perdre
  • Légère comme une danseuse, espiègle comme une enfant
  • La sextime de soi diminue comme les seins et la bite s’affaissent
  • C’est fellinien : grand et gros (sein)
  • "L'amour n'est qu'un prétexte à avoir des sentiments"
  • Mélange détonnant de stupeur et colère
  • Argousin : dérivation de l'arabo-espagnol alguazil : Agent de police qui remplissait à la fois les fonctions d'huissier, de sergent de ville et de gendarme en Espagne
  • Lui a laissé ce système se mettre en place, l’autre ni touche pas
  • "Shiva", (soleil) dans la trinité hindoue, "créateur, préservateur, destructeur"
  • J’ai eu raison trop tôt, même si j’aurais préféré me tromper
  • À bras raccourcis
  • "Les mots manquent aux émotions." Victor Hugo
  • Dans chaque enfant il y a un artiste. Le problème est de savoir comment rester un artiste en grandissant." Pablo Picasso
  • "Il est beaucoup plus facile pour un philosophe d'expliquer un nouveau concept à un autre philosophe qu'à un enfant. Pourquoi ? Parce que l'enfant pose les vraies questions." Jean-Paul Sartre
  • "la solitude n'est rien, c'est l'absence qui tue"
  • Exister c’est s’affirmer
  • "Dès l'arrivée, le départ se profile." Ylipe
  • "Je ne sais pas ce que le passé me réserve" (Sagan)
  • On devient vieux quand on n’a plus envie de danser
  • Notre personnalité nous est inconnue, on passe sa vie à tourner autour
  • Vie de patachon (conducteur de patache : Bâtiment léger servant à divers usages ; mauvaise diligence à deux roues, mal suspendue, et dans laquelle on voyageait à peu de frais) : Mener une vie instable, mouvementée et dissolue
  • Nomade, si tu poses un pied en ville tu es tenté, si tu y poses deux pieds tu es perdu
  • Ceux qui savent ne disent pas, ceux qui disent ne savent pas
  • Je me sens très optimiste quant à l'avenir du pessimisme. Jean Rostand
  • Plagiat ou hommage, c’est pas la même
  • Lost in transgression
  • Avoir le cœur au bord des lèvres : envie de vomir
  • Ce n’est pas parce que tu ne veux pas entendre ce que je dis que ça n’existe pas
  • Le je vaut-il le chant d’elle
  • Tant qu'il y aura des yeux reflétant les yeux qui les regardent; tant qu'une lèvre répondra en soupirant à la lèvre qui soupire; tant que deux âmes pourront se confondre dans un baiser, il y aura de la poésie ! (Gustavo Adolfo Bécquer)
  • Je suis le plus stupide des imbéciles
  • On s’inquiète des problèmes lorsqu’ils arrivent puis on oublie
  • Y a un 2è service et du rab’ au grand buffet de la vie
  • La jeunesse commence à la vieillesse car sa vie est derrière soi et qu’on n’a plus rien à prouver
  • Fais tout pour être le meilleur que tu puisses être
  • Plonger et nager ou sauter et couler
  • Fourmi en hiver, cigale en été
  • Inventer son job est mieux que de trouver un job
  • Payer pour du sexe, tuer pour le plaisir, boire à plus soif, se torcher le cul sont des spécificités humaines dans le règne animal (même s’il existe des formes de prostitution chez certains, tout comme d’autres organisent des expéditions punitives pouvant conduire à la mort d’un congénère mais ce n’est jamais gratuit)
  • Don’t try to be credible, just be incredible
  • Je ne suis pas dans la compassion mais plutôt dans la compréhension
  • Tu mérites vaguement que je t’accorde mon attention
  • Je n’aime pas tout le monde mais je ne déteste personne
  • Ce n’est pas un petit plat qui se mange froid : c’est à consommer sans délai ni modération
  • Je suis sonné, assommé mais pas abattu
  • Je te dis volontiers que telle n’était pas ma volonté
  • On devrait juste rester amis ! Des amis j’en veux pas !! C’était juste pour être poli que je proposais ça, je n’en ai aucune envie non plus
  • On ignore tout de ce que c’est, pourrait être ou sera
  • Les rôles sont renversés … comme toi
  • Je te plaque une bonne fois pour toutes
  • Tu n’es pas un salaud, même si tu fais beaucoup d’efforts pour l’être
  • Il est irrésistible, et comme je n’aime pas trop résister … ça tombe bien
  • Je l’ai vu venir même si j’espérais que ça ne se produirait jamais
  • Il veut tout savoir, moi je ne veux rien dire, il faut tout inventer
  • En sabotant ce début, je voulais éviter que cette histoire soit juste de l’amitié : je préfère rien que pas grand-chose
  • Mettre fin à mes jours pour qu’elle porte le poids de sa culpabilité jusqu’à la fin de ses jours
  • Et ce(ux-)ci, à minima avec moi
  • Tu veux découvrir là où toi tu t’arrêtes et où moi je commence !
  • Je ne suis pas la personne que tu crois … ni celle que je crois non plus d’ailleurs mais ça c’est un autre débat (avec moi-même, note pour plus tard)
  • Une intrigue qui m’inspire
  • Une bonne pêche c’est soit beaucoup de petits poissons soit quelques grands
  • Copié par ses fidèles, imité par ses opposants
  • Tout ce qu’on a fait, on l’a fait ensemble
  • Les petits détails font les révélations de taille
  • Les experts se ravissent d’un futur radieux mais ils oublient leur propre ignorance
  • Laisse-le dire, la vérité est si rare
  • Prendre l’initiative avant la disgrâce
  • Répandre autour de moi des larmes d’innocents ou retrouver la paix
  • Dans mon monde à moi, il n'y aurait que des divagations
  • C’est notre mémoire et ses frontières sensorielles qui nous emmènent jusqu’où on peut s’amener
  • Quand j’ai des angoisses, je sombre dans le sommeil et/ou les hallucinations
  • Ce n’est ni du subconscient, ni des hallucinations ni même des rêves
  • La réalité n’est pas que celle qui apparaît dans le cadre de la caméra
  • Ce n’est plus de l’optimisme raisonné, c’est du rêve halluciné
  • À quoi bon vivre heureux si c’est pour être caché ?
  • Je mourrai sans regret
  • Ce que je suis quand même, au-delà de ce que je voudrais être
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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 19:34
  • On aurait dû s'attendre à ce que tout finisse par s'effondrer. Puisque tout est question d'équilibre et que le monde ne fait que basculer
  • Rodomontades : Propos fanfarons, attitude prétentieuse et ridicule; comportement d'un rodomont (De l'ital. Rodomonte, n. d'un roi d'Alger courageux mais fier et insolent, personnage de l'Orlando innamorato de Boiardo, poème épique écrit de 1476 à 1492)
  • Désolé que tu l’aies appris comme ça, enfin appris, enfin d’avoir fait ça quoi !
  • Je te casse la bouche avec ma matraque, mon gourdin
  • Je vais pas te quitter, ni te demander de partir
  • Le divorce c’est bien quand t’es jeune, quand t’es vieux c’est ridicule
  • Je ne promets jamais car je ne suis sûr de rien, sur l’instant comme après
  • Je ne sais pas comment/pourquoi ça s’est passé, mais ça s’est passé comme ça
  • Jouer l’un avec l’autre en même temps que l’un contre l’autre
  • Ils se ressemblent trop pour ce qu’ils ont de différences
  • Plutôt dos à dos que face à face
  • Attrait de la chair quand le soleil stimule la sécrétion d’hormones et la chaleur dévêt les corps
  • Compte autant de tristes nuits que de jours heureux
  • La capote c’est comme manger un bonbon avec le papier autour
  • Je suis loin d’être parfait, mais les autres le sont encore moins que moi
  • Éviter les mauvaises surprises c’est être sûr de louper les bonnes
  • Comprendre c’est ne plus juger
  • Je sais d’où je viens mais pas où je vais, et toi c’est l’inverse
  • Elle était bleue et moi rouge, ensemble on essayait de faire du violet
  • Je ne m’envoie pas bien haut en l’air ces temps-ci
  • On ne fait qu’en parler, mais la nuit est à nous
  • Quand je suis déprimé l’alcool fait qu’aggraver les choses ! Oui, mais faut boire assez pour dépasser ce stade, c’est pas un sprint mais un marathon
  • La vie est brève et le désir sans fin
  • Toute religion n'est qu'un système imaginé pour concilier des contradictions à l'aide des mystères. [Baron d'Holbach]
  • T’as pas envie de moi, t’as juste envie de baiser
  • je t’ai déjà dit pourquoi je ne pouvais pas te dire pourquoi
  • La politique, fille de la diplomatie et de l'escroquerie courtoise. [Jacques Sternberg]
  • Loterie est la plus belle invention du monde faite par les préleveurs d’impôts
  • Coelum, non animum mutant qui trans mare currunt : Courir au-delà des mers, c'est changer de climat, mais non changer de cœur (HORACE, liv. I, épit. XI, v. 27)
  • D’ici là il gèlera à pierre fendre en enfer
  • Redouter de douter
  • tant que je ne souris pas, j'ai l'air d'un jeune homme
  • "Les pas ne conduisent pas seulement vers le but ; chaque pas est un but." [Alain]
  • On remplace ce qu’on ignore par ce qu’on imagine
  • "J'ai fait des erreurs et je vous garantis que j'en ferai d'autres" (Barack Obama)
  • Je sais que je ne sais pas grand-chose
  • Suer le burneau
  • On peut être seul mais pas solitaire
  • Le temps est un grand maître, le malheur c'est qu'il tue ses élèves
  • "Si je n'écrivais pas, la vie serait morte" SAGAN
  • Après de sales histoires, dorénavant je n'aurai plus qu'un seul amour, indéfectible, sincère et fidèle : ce sera l'amour propre
  • Je suis comme tu me veux
  • Je l’ai inséminée lors d’un séminaire
  • pas des "pd", ce sont des "suce-tendre"
  • écarte tes roseaux que je pêche au large
  • Le vertige du néant
  • L’extase est l’envol des pieux au 7è ciel, les restants étant sous-vivants
  • Dieu nous aime, il nous tuera tous à l’Apocalypse
  • Si je t’ai appelé c’est bien que je suis désespéré
  • Chaque jour obligés de lutter contre notre haine
  • Tu ne pourrais même pas prédire 12h à 11h30
  • Comment tu sais tout ça ? Ça n’a plus d’importance !
  • Dans un monde de fous, seul un dingue est vraiment fou et exprime clairement sa folie
  • On ne peut obliger tout le monde à penser la même chose, et c’est bien dommage
  • Pire que des Cananéens (marchands phéniciens, Dieu ordonna aux Israélites de chasser les Cananéens pour prendre possession de leur pays ; “Les temples de Baal et d’Aschtoreth étaient généralement associés. Les prêtresses et les sodomites étaient des prostitués sacrés. Le culte de Baal, d’Aschtoreth et d’autres dieux cananéens consistait en des orgies sans nom; leurs temples étaient des centres de dépravation.” “Dans les ruines d’un de ces “hauts lieux” de la civilisation cananéenne, les archéologues “ont trouvé de nombreuses urnes contenant les restes d’enfants sacrifiés à Baal. Tout le périmètre alentour était un cimetière de nouveau-nés”. On a également mis au jour un “grand nombre incalculable de sculptures et de plaques gravées représentant Aschtoreth dotée d’organes génitaux hypertrophiés de façon obscène, tous objets destinés à exacerber la sensualité), des Madianites (dont les femmes avaient séduit les enfants d'Israël et fait adopter le culte des idoles)
  • Renoncer à cette fantaisie hippileuse
  • Je ne peux pas imaginer que je puisse songer à l’envisager
  • Je connais comme tout le monde la peur, c’est juste que j’ai appris non à la dominer mais au moins à la domestiquer
  • Contre rien ni pour tout
  • Solution mi-chèvre mi-chou
  • Je suis quelqu’un d’important, tu ne peux pas me tuer ! Combien tu paries que je peux et vais ?
  • En prison, le pointeur viole un autre détenu pour prouver qu’il n’est pas pd
  • Citoyens heureux de se laisser chloroformer
  • Les politiques jettent l’opprobre sur les fonctionnaires concernant l’échec de leur propre démagogie
  • Viens, approche-toi, n’ais pas peur, je ne vais pas te faire de mal, que du bien tu verras
  • Pourquoi ? Et pourquoi pas d’abord ???
  • Le temps du grand chagrin prenait enfin fin
  • On ne renaît pas tous les jours
  • Quand c’est sa fête faut être ponctuel
  • Un coup de peinture n’efface pas la saleté des années, faut décaper
  • Donner de faux-espoirs est pire que le désespoir
  • Seulement quand je pleure dans l’océan que mes larmes paraissent petites
  • Pas besoin de demander l’avis des femmes pour savoir ce qu’elles pensent
  • Tu ne le regretteras peut-être pas aujourd’hui ou demain, mais sûrement toute ta vie
  • Traiter les criminels c’est gérer les problèmes de la société
  • Donner un cadre à ceux prêts à outrepasser les limites
  • Comprendre le monde c’est pouvoir le transformer
  • Gardien de la paix ou putain de la république ?
  • Flic, un métier de chien, qui fait ce que ses maîtres lui demandent
  • Les commis de l’état se sont compromis
  • Zagury : l’énigme des tueurs en série
  • Toupet : Petite touffe de poils ; Assurance, aplomb mêlé d'effronterie
  • Besoin autant de chance que de courage qui ne manque jamais lui
  • Tant que je respirerai, rien ne sera terminé
  • Tant qu’on ne choisit pas, tout reste possible
  • Comme on ne peut pas revenir en arrière, le choix est difficile
  • Si je dis rien c’est bien qu’on est d’accords
  • Je te propose pas de monter boire un dernier verre ! Bah, si si, vas-y, j’ai envie
  • On se fait du souci quand on aime
  • Toi aussi tu rencontreras quelqu’une de bien : pas trop exigeante et qui n’aura pas d’autre choix
  • Il est gentil mais faut pas qu’il s’énerve
  • Fais pas le malin si t’as pas les cartes qui vont bien en main
  • Je ne sais pas quelle est l’idée derrière, mais c’est pas une bonne idée
  • Tout n’est que mensonge, la preuve ton nez s’allonge
  • Après l’effort/les forts, le réconfort
  • Abandonne tout espoir toi qui entre en mon antre
  • Que ce soit clair, c’est officiellement de ta faute
  • Tant pis, je tiens plus
  • Ce lover est un looser
  • Je me rends pas bien compte, t’as tout entendu ?
  • La nuit je m’ennuie dans mon lit
  • La nuit est mon royaume, j’y suis sous vérin
  • Je regrette celle qui ne me regrette pas
  • J’ai cauchemardé de toi
  • Ce qui a fait ton malheur est c’est que je croyais/voulais faire ton bonheur
  • À quel moment as-tu perdu la raison ? Lors de ta rencontre, qui fut fatal à mon raisonnement !!!
  • On n’est pas censés parler de ses sentiments, mais je préfère que tu sois clair pour que ça m’éclaire
  • La règle numéro 2 permet de transgresser  la règle numéro 1 si ça concerne une femelle
  • Surveille tes arrières alors que moi c’est devant le matos à protéger
  • Viens vite mon gros, je crois que ça y est presque
  • C’est bon, t’es tout nu, je peux passer ?
  • Un papillon est une chenille qui a fait son coming-out de sa chrysalide
  • Plus peur de la souffrance que de la Mort
  • Jamais senti aussi vivant qu’en tutoyant la Mort
  • On vivait en parallèle d’un autre monde possible et on le savait même pas
  • Les garçons, on a besoin de se serrer les couilles en pareil moment
  • L’enjeu est plus gros que toi et moi réunis
  • Sauvé par le gong d’une éternité d’enfer
  • Laisse-moi le temps d’y réfléchir ! Yesss !! Bon beh c’est non !!!
  • Comment te montrer que je suis fort et sensible, drôle et sérieux ? En étant toi, égal à toi-même
  • Une infime infirme intime partie de moi le savait
  • Je lui ai dit que je l’aimais, pas que j’étais amoureux d’elle
  • Plus ça va et moins y a de choses que j’ai le droit de faire
  • Ma dernière volonté est de ne pas ressusciter
  • Voguer avec célérité car le temps m’est compter
  • Je suis heureux, et très en colère
  • Je ne suis plus en état d’ébriété mais d’ivresse avancée juste avant de dégobiller
  • Quand j’avais ton âge c’était le futur car je suis plus jeune que toi
  • Il est où ? T’inquiète, il est bien là où il est
  • Les découvertes qui en ont découlé
  • Difficile, dangereux et dispendieux
  • Se hausser du bec : Se gober (du gaulois *gobbo (« bec » → voir gwp, « tête d'oiseau » en gallois, gob, « bouche » en irlandais), s’en faire accroire, s’exagérer son importance et ses mérites
  • Les vieux vivent plus grâce aux organes des jeunes qu’ils écrasent en voiture
  • Au moins dans la virtualité j’ai plein d’amis, même si pas forcément plus de contacts
  • Droit comme un Z (-ig, voire -ag)
  • J’ai eu honte, j’ai souffert, mais j’ai survécu
  • J’ai le droit de faire tout ce que je veux car j’ai mérité leur confiance
  • Les choses ont changé ! Mais je veux pas moi qu’elles changent
  • On vous dira comme c’était bien
  • Je te ressers, ton verre est à moitié vide ? Oui, même si moi je suis déjà à moitié plein !
  • Fait de la même matière que les rêves
  • Sans toi, je suis égaré comme un puceron sur une vie rosse
  • Faire amende honorable : Le mot "amende" vient du verbe "amender". Dès le XIIIe siècle, il désignait une peine, une punition correspondant à la réparation d'un tort, souvent grave, avant, bien plus tard, de se spécialiser dans la réparation pécuniaire, comme l'amende que nous versons aujourd'hui à l'État. L'amende honorable, qui imposait une demande de pardon en public, était une peine infamante qui se traduisait entre autres par une privation d'honneur (honorable = relative à l'honneur) et était opposée à l'amende profitable, celle-ci consistant en un paiement de sommes d'argent, la seule qui nous est restée.
  • La France n’a plus dans le monde le visage des droits de l’humain, Liberté Égalité Fraternité, culture, elle est défigurée
  • Oui, ça a augmenté, mais c’est égal au niveau de l’inflation, donc ça n’a que peu bougé
  • Un Abel qui n’a pas besoin de Caïn
  • Je bois jamais, mais là je sens que je vais trinquer et prendre cher
  • Ton préféré des Beatles ? Juice !
  • Je déteste déjà demain
  • Tu es vivant ! Je préfèrerais ne pas l’être !!!
  • Enfin quelqu’un qui m’écoute, je comprends mieux ce que ressens une radio, avec toujours l’impression de parler dans le vide
  • Je savais pas que c’était une telle responsabilité, d’ailleurs je croyais que c’était une irresponsabilité
  • Un regard à te faire fondre comme neige au soleil
  • Tu ne brouteras pas le gazon de ta voisine dit dièse
  • Je ne juge pas la laine sur la couleur mais sur la façon de gratter
  • Les nuages sont des atchoums de dieu
  • Non, je crois que oh eh hein bon !
  • Tu en es sûr ? En tout cas je crois bien !
  • Oui, non, pas pour l’instant, je réfléchis et saurai plus tard, je ne peux pas te dire pour le moment
  • Si tu veux qu’on apprenne à mieux se connaître, suffit de baiser
  • Il ne croit pas en l’amour alors qu’elle est folle amour
  • Rien n’est fini car rien n’a commencé
  • La prochaine fois y aura pas de prochaine fois
  • Si d’aventure y aurait d’autres aventures qui virent en mésaventure, qui tournent en déconfiture
  • Plus je vieillis et plus j’apprécie le goût sucré-amer de la vie
  • Partage entre la marge et le glamour
  • Réaliser des idées jamais entendues avant
  • Je crois bien que je ne sais rien
  • Vie très marginale, voire plus : dissolue
  • Le vieillissement est une maladie mortelle à 100%
  • Renoncer ou transiger est se compromettre
  • Les grandes terreurs sont muettes
  • Toute ma vie j’ai attendu ce moment où on ne pense plus à rien
  • Survie comme espèce, bien-être comme individu
  • Dès que je suis né j’ai crié « laissez-moi partir »
  • Je dis ça comme si … ! Bah ouais, des fois c’est comme ça !!!
  • On va chercher, même et surtout au fin fond du grenier
  • Elle te construit à sa manière pour mieux démolir ta propre matière
  • M’a propulsé vers un nouvel autre monde merveilleux, avec le danger qui en découle
  • Se tuer à l’attache-cœur
  • Nos croisements de regards révèlent qu’elle a perdu le contrôle
  • J’ai envie de te dire à tout de suite
  • Le but n’est pas de faire des accords, mais d’être sur la même longueur d’onde, de faire une belle mélodie/note/mélopée
  • Si toi t’es pas un chaud lapin, moi je suis chaude de la pine
  • Les nu(it)s les plus osé(e)s du monde
  • Si tu veux la séduire, laisse-toi faire
  • Tu finiras par te marier, même contre ton gré
  • Quel que soit le plan, tu n’en fais pas parti
  • C’est ce que dis ta bouche, mais mes oreilles sont trop bouchées pour entendre
  • C’est parfois plus facile d’être cruel que de dire ce qu’on pense
  • Tu fais l’amour comme un homme qui sort de prison
  • Ça n’a jamais marché avec quelqu’un, mais si ça marchait ouahou
  • Elle se défendait en disant « non non » mais ses yeux disaient « oui oui »
  • Il est revenu ? Il est jamais parti !
  • Je rêvais d’elle avant même de ne jamais la rencontrer
  • Quoi que tu fasses, ne sois pas toi-même
  • L’Amour peut surgir de nulle part et partout en même temps
  • T’en sais rien ! Si je le sais, et toi-même tu le sais aussi
  • Une boule de feu trop chaude pour moi
  • Ton regard m’a incité à penser que j’étais ton obligé
  • L'érotomanie est une maladie du groupe des psychoses, construite autour de la conviction délirante que l'on est aimé par une personne. Elle est aussi appelée syndrome de Clérambault
  • Jeunes et accortes (aimables et enjoués) gentes damoiselles
  • La bécasse est timide, simple d'allure comme d'atours. Elle est accorte cependant, rondelette et bien en chair. Rien qu'à la voir se couler sous les fougères, souple et dodue, on la devine savoureuse
  • Pas ce qu’était, ce que sera
  • J’improvise ma vie comme si c’était un film, mais pas celui d’un autre réalisateur/scénariste
  • Si je suivais mon instinct, je me tuerais
  • Je voudrais être mort ! Au moins t’as un projet de vie !
  • Quand on se suicide on le regrette toute sa vie
  • Y a pas de suicidé heureux
  • Bander pour et de la vie
  • Ils tuent, je baise : c’est ma seule Révolte
  • J’ai combattu la loi et la loi a gagné
  • Tout va bien tant que rien ne vient perturber cet équilibre instable
  • La beauté de X est une Rébellion sans cause ni but donc est possible
  • Beaucoup de travail, un peu de talent
  • Pas peur de la douleur mais du malheur
  • La vie est un hasard contraire aux destinées
  • Quitter ce monde comme j’y suis entré : crade, en hurlant, arraché des bras de la femme que j’aime
  • En toute affaire, recule d’un pas et tu auras l’avantage
  • Si tu sens/calcules que tu vas arriver en retard, pars en avance
  • Enfermé là où il se sait/croit en sécurité
  • Loi de Murphy : toute solution crée de nouveaux problèmes et tout ce qui commence mal finit pire
  • Carnaval obscure d’âmes perdues
  • Prognoïde : quelqu'un qui est persuadé que tout le monde l'aime malgré toutes les preuves flagrantes du contraire
  • Comme un enfant, tu fais du bruit et ne sais rien
  • Colifichet : Petit objet de fantaisie, de peu de valeur et de mauvais goût, sans utilité réelle, utilisé pour la parure ou la décoration
  • C’est toi qui sais
  • J’ai arrêté/changé tout ça, c’était pas mon histoire
  • C’est ton anniv’ ? Bah oui, comme tous les 3 avril que chaque année fait
  • Quelle journée … enfin, on verra ça demain !
  • Bonheur décroît quand l’intelligence croît
  • X perdu dans la vie/le film d’Y
  • C’est à son coup de crayon qu’on reconnaît l’artiste
  • Je me languis du passé même si je me précipite vers l’avenir
  • On ne les voit pas, ou alors on les ignore
  • dans la vie il faut au moins essayer le mieux plutôt que le confort du pire
  • un homme au ventre plein a l'esprit beaucoup plus serein
  • Essayer encore, rater encore, rater mieux. Samuel Beckett
  • Toutes les grandes personnes ont d'abord été des enfants. Mais peu d'entre elles s'en souviennent ! Antoine de St-Exupéry
  • Vous ne pouvez pas me détester puisque je suis supérieur à vous
  • Je ne suis sûrement pas un modèle, ou alors à ne pas suivre
  • Toc-toc ! Qu’est-ce que t’as à tambouriner comme ça, tu veux casser ma porte à taper comme un flic ?
  • Tout doux là, baisse d’un ton, m’enfin, ça va aller oui ?!
  • T’avise plus d’étaler ta science ici
  • il y aura toujours des gens qui jugeront, mais essayer de faire des choses c'est prendre des risques et çà c'est admirable... alors l'avis de ceux qui ne tentent rien importe peu
  • Ajouter l’insulte à l’injure
  • Tu ne sortiras pas grandi par cette attitude enfantine
  • Je trouverai la sortie tout seul, te dérange pas
  • Usé jusqu’à la corde (à linge sale, à pendre)
  • Tel délice qu’il faille de peu que le novice défaillisse/s’évanouisse
  • je vais pas t’attendre 107 ans les jambes croisées
  • j’aime la bite, mais pas la tienne
  • Vaincre la violence et l’oppression sans utiliser ni la violence ni l’oppression
  • J’ai perdu mon boulot alors que j’en avais besoin pour travailler
  • Du pognon à foison
  • Quand j'ai commencé à chercher du travail on a regardé si j'avais de l'expérience. Comme je ne suis pas né avec, j'en cherche toujours
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